1. Le premier trio


    Datte: 03/04/2025, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, couleurs, couple, extracon, cadeau, anniversai, douche, amour, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral fgode, double, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, québec, Auteur: rb07, Source: Revebebe

    ... redemander.
    
    Sophie me tira vers le lit, m’invita à m’y allonger sur le dos, et elle vint me rejoindre sans croire bon de retirer ses souliers. Cela me faisait sentir plus nu que nu, le contraste entre son état vestimentaire et le mien accentuant l’effet. Elle se jeta sur moi, commença à m’embrasser avidement, puis elle entreprit de me déguster.
    
    Les lèvres et la langue de Sophie sont les plus coquines qui n’aient jamais parcouru mon corps. Elles avaient ce don de s’immiscer partout, de générer caresse après caresse tout juste à la limite de la chatouille qui, par accumulation, menaient à un état de transe hypersensorielle. Elle mettait l’entièreté de mon corps en éveil en me léchant la tête aux pieds. Puis, quand le recto était imbibé de salive, elle s’attaquait au verso en m’incitant à me renverser par des coups de nez sur mon flanc. Son souffle dans mon cou, dans mes cheveux, derrière mes cuisses, les ourlets de sa bouche au creux de mes reins, dans mon sillon dorsal, sa main qu’elle posait fermement sur ma nuque comme pour m’inciter à rester immobile sous sa gouverne pendant qu’elle me dégustait, ce à quoi j’échouais, parcouru des mille frissons qu’elle me donnait. Quand elle laissait glisser ses mamelons tendus sur le galbe de mes fesses, j’étais au ciel. Elle aussi était au ciel, de son aveu, ce qu’elle qualifiait d’égoïsme. Mais de ce genre d’égoïsme, j’en prenais n’importe quand.
    
    Sa langue s’attardait très souvent dans mon abîme fessier, après un petit « ...
    ... Je peux ? » qu’elle me susurrait tendrement. « Toujours » était ma réponse, immanquablement. Je poussais mon coccyx à sa rencontre pour lui signifier mon envie de recevoir ses faveurs. Ses mains baladeuses en profitaient parfois pour passer sous mon ventre et venir branler mon sexe tout humide de l’état d’extase permanent dans lequel elle me maintenait. Léché et cajolé de la sorte, j’étais à elle.
    
    Quand elle me retournait sur le dos, c’était pour l’assaut final. Cette queue qu’elle avait goûtée en hors-d’œuvre, elle tenait maintenant à venir y chercher son plat de résistance. Quand elle me reprenait dans sa bouche, c’était pour ne plus me laisser sortir avant que je ne lui aie offert tout de ma jouissance. Elle n’adoptait pas pour autant un rythme effréné qui m’aurait fait débouler en quelques minutes. Que non ! Dans l’état méditatif dans lequel elle se plongeait pendant la fellation, elle restait hypervigilante à chacun de mes soupirs, gémissements, tremblements. Elle me faisait monter et monter, experte de la haute voltige qu’elle était. Quand je croyais avoir atteint la limite de l’atmosphère, elle me démontrait par l’exemple que ce n’était que les premières strates. Je soufflais, je grognais, elle me rendait irresponsable de mon corps, c’était elle qui en avait le contrôle. Souvent, je sentais que sa vulve ouverte prenait une de mes cuisses en affection, s’y collait, s’y frottait, ce que j’encourageais par des mouvements d’aller-retour. Sinon, si la position me le ...
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