1. Le premier trio


    Datte: 03/04/2025, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, couleurs, couple, extracon, cadeau, anniversai, douche, amour, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral fgode, double, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, québec, Auteur: rb07, Source: Revebebe

    ... les tirer doucement vers elle, ce qui amena mon gland tout luisant juste sous son nez. Il fut accueilli par ses jolies lèvres en cœur pour un baiser tout en délicatesse.
    
    — Tu as un sexe magnifique !, soupira-t-elle comme à elle-même, avant de faire passer la tête dans sa bouche. Et tu goûtes si bon !, ajouta-t-elle après avoir aspiré tout ce que l’excitation m’avait fait produire jusqu’à maintenant.
    
    J’étais fasciné par la fascination que Sophie pouvait exprimer envers mon sexe. Je n’avais pas côtoyé beaucoup de sexes masculins dans ma vie, visiblement beaucoup moins qu’elle, et je comprenais mal pourquoi son appréciation du mien semblait sans borne. Ce n’était pas qu’il était particulièrement long ou d’une section imposante.Bigger is better ne s’appliquait pas ici. C’était sa forme longiforme, terminée par un gland bien développé et qui enflait bien sous ses coups de langue, sa rigidité, sa texture lisse, ses testicules d’un « bon gros format », comme elle me l’avait déjà écrit, biens fermes et bien ronds, qu’elle appréciait. Il y avait aussi qu’il semblait parfaitement adapté aux dimensions des orifices dans lesquels elle souhaitait le recevoir. Sans compter que mes phéromones naturelles étaient en phase avec ses récepteurs olfactifs, devrais-je croire par ses exclamations de plaisir à venir humer mon aine. Je me sentais comme un plat à déguster lentement et longuement, dont le goût et la texture ne créaient jamais cette impression de trop-plein, dont elle semblait ne ...
    ... jamais se contenter. M’offrir à sa faim et sa soif était un plaisir sans borne que je tenais sans cesse à répéter. Le traitement gastronomique qu’elle me réservait était totalement addictif.
    
    Ma dépendance trouva matière à assouvir son assuétude quand elle se leva de son fauteuil, s’élevant sur les échasses qu’elle avait aux pieds, ce qui apporta son visage presque à la hauteur du mien. Je pris machinalement un pas de recul pour la contempler dans ses vêtements qui décoraient plus qu’ils ne vêtissaient : ses longs cheveux noirs, maintenant parsemés de fils d’argent, qui lui tombaient jusqu’aux seins, les couvrant partiellement, ce qui mettait en valeur leur forme majestueuse, son visage rond et tout gamin qui attirait sans cesse mes baisers, ses yeux bruns, presque noirs dans cette lumière, qui me transperçaient et me faisaient fondre, la courbe de ses hanches et de sa taille, parfaitement adaptée à la forme de mes mains, qui me permettait de la tenir contre moi tantôt en toute délicatesse, tantôt fermement et énergiquement pour maintenir notre fusion charnelle, ses mollets qu’elle aimait gainer de bas, qui s’entouraient si bien autour de mes hanches pour me maintenir profondément en elle. Il y avait aussi ce ventre tendre et doux sur lequel j’avais déjà exprimé toute l’ampleur de ma jouissance blanchâtre après que je me fus offert en spectacle, pour le plaisir de nos sens. À chaque parcelle de son corps était associée un souvenir extasiant, une raison de m’émouvoir ou d’en ...
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