Week-end à la campagne
Datte: 30/03/2025,
Catégories:
fh,
couple,
forêt,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
Auteur: Etienne56, Source: Revebebe
... dénudées me délectant des regards lubriques de ces spectateurs à deux doigts de l’apoplexie.
— Il y a urgence, me dit-elle, allons-nous-en d’ici, ou alors…
— Tu vas tous les décevoir !
— Notre envie l’un de l’autre commande, me dit-elle suffisamment fort pour en faire profiter tout le voisinage et sans doute inspirer les couples à la libido soudainement en parfait état de s’exprimer.
La voiture avala les kilomètres sur cette départementale, freina subitement alors que nous traversions un petit bois des plus inspirants pour ce que nous allions y faire.
— Embrasse-moi, couvre mon corps de baisers, de caresses.
Sous le fin débardeur, je saisis un sein et répondis aux attentes de Marie qui défit les boutons de mon jean et saisit sans plus attendre mon sexe.
— Mais tu bandes ! J’aime !
— Ne fais pas l’oie blanche… Évidemment que je bande !
Elle plongea jusqu’à saisir entre ses lèvres tièdes mon sexe. Comble du plaisir.
Sa jupe relevée, sa chatte, ses fesses me laissaient sur ma faim, j’en voulais davantage ou plutôt autrement.
— Suis-moi !
Elle se retrouva debout devant le capot, poitrine découverte, pointes des seins dressées, j’étais au paroxysme du désir, me collant contre elle, lui remontant sa jupe, je glissais une main sur ses fesses, l’autre sur sa chatte trempée.
— J’aime te sentir mouillée ainsi !
— Comme c’est étonnant, dit-elle en éclatant de rire, viens, pénètre-moi de suite !
Je la fis s’allonger, ventre sur le capot, et d’un ...
... brusque mouvement du pied, lui écartai la jambe. Cette position eut pour effet de décupler ma furieuse envie d’elle. Ma queue pénétra d’un coup, un seul dans sa chatte brûlante et humide.
— J’adore, c’est ce que j’attendais de toi, j’aime ta brutalité dans ces moments.
Le bruit des voitures si près de nous attisait notre excitation.
— Être surprise ainsi te plairait ?
— Et comment !
— Alors, imagine un voyeur se masturbant à notre vue.
— Oh oui, tu vas me faire jouir !
J’attendais depuis si longtemps ce moment, la voir ainsi au comble de l’excitation, me retenir était de plus en plus difficile, ses gémissements de plaisir allaient crescendo, suivant en cela le rythme de plus en plus fou de mes aller-retour au plus profond de sa chatte. Je sentis son fourreau se resserrer sur ma queue, son corps tout entier se contractant soudainement, je me lâchais, inondant sa chatte de ma semence alors qu’un long cri de jouissance s’échappait d’elle.
Toujours en elle, les mains agrippées à ses hanches, je me laissais aller contre son corps lui saisissant les seins dans une dernière étreinte.
— C’était si bon, si bon.
Je l’embrassai, lui déclarai une fois de plus ma flamme et le plaisir sans cesse renouvelé de lui faire l’amour. Nous restâmes ainsi, savourant ce délicieux moment.
Marie jugea préférable de remettre ses dessous avant de rejoindre nos amis.
— Dommage, lui dis-je, j’aimais bien ce dévêtu !
À notre retour, Laurence nous accueillit, s’étonnant du temps ...