Week-end à la campagne
Datte: 30/03/2025,
Catégories:
fh,
couple,
forêt,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
Auteur: Etienne56, Source: Revebebe
C’était il y a, déjà, quelques dizaines d’années, nous formions avec Marie un couple trentenaire. Elle était hôtesse de l’air, j’avais, pour ma part, repris l’exploitation agricole familiale. En ce début de mois d’août, accompagnée de son fils Olivier, alors adolescent, elle partit rejoindre son amie Laurence dans le Cantal où les parents de celle-ci avaient restauré, schéma classique, une vieille bâtisse.
Dès leur arrivée, en toute fin d’après-midi, elle m’appela, ravie, le temps était superbe, la piscine accueillante, le cadre idyllique ; les garçons, Louis, le fils de Laurence étaient là, heureux de se retrouver. Dans les jours qui suivirent, Marie insista tant et si bien pour que je la rejoigne, elle savait parfaitement se montrer convaincante et j’étais fou d’elle, que la décision fut prise pour le week-end suivant.
J’arrivai en toute fin d’après-midi et visitai les lieux après avoir salué nos hôtes. Tout était conforme à la description qui m’en avait été faite. La longère était superbe, et pouvait accueillir vu le nombre de chambres, pléthore d’invités. Celle qui nous était réservée bénéficiait d’une charpente magnifique, la salle de bains attenante acheva de me séduire. J’étais si bien auprès de ma chérie, de Laurence et de Gérard, son compagnon.
Le dîner en terrasse copieusement arrosé d’un petit vin de pays, nous discutâmes longuement dans la douceur de la nuit. La fatigue de mon voyage accentuée par ces petits excès gastronomiques écourta, du moins pour ...
... moi, cette délicieuse soirée. J’allai me coucher et dormais déjà quand Marie se lova tout contre moi.
Le lendemain, je la laissais dormir et, après une douche vivifiante, rejoignis Laurence pour le petit déjeuner. Ma tendre Marie se réveillait à peine alors que je regagnais notre chambre.
— Va profiter du soleil ! Le temps d’une douche, je te retrouve, me glissa-t-elle à l’oreille après quelques tendres caresses matinales.
Quelque temps plus tard, ébloui par le soleil, je devinai sa silhouette, elle se posta devant moi, souriante, un brin provocante.
— Attention au loup ! lui dis-je.
— Comment cela ? répondit-elle innocemment.
Elle était vêtue d’un débardeur, rouge vif à pois blancs, à fines bretelles et d’une jupe assortie ne laissant rien ignorer de sa morphologie tant elle épousait parfaitement celle-ci.
Un fruit rouge d’été à croquer. Je ne lui connaissais pas cette tenue qui mettait en valeur, le mot est faible, ses seins, ses fesses et la délicieuse cambrure de ses reins (45,5°, ni plus ni moins, je l’avais, tant elle me subjuguait, mesurée… L’angle idéal chez une femme, un standard de beauté, dit-on).
— Le rouge exquis de ta tenue me fait penser au petit chaperon rouge, tu es ravissante et sexy à souhait !
— Le loup, c’est toi, et si j’ai choisi cette tenue, c’est pour mieux t’aguicher, et je suis ravie de l’effet produit. Je vais faire quelques courses au marché d’Aurillac, tu m’accompagnes ?
— Évidemment, en aucun cas je ne te laisserai y aller ...