1. Week-end à la campagne


    Datte: 30/03/2025, Catégories: fh, couple, forêt, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, Auteur: Etienne56, Source: Revebebe

    ... jouiiiis…
    
    Je la regardais se détendre, la tête rejetée en arrière, bouche entrouverte. Elle se tourna vers moi, m’embrassa tendrement puis, féline, me lécha les doigts.
    
    — J’adore mon goût, me dit-elle, coquine.
    — Confidence pour confidence, moi également !
    
    Elle reprit sa culotte.
    
    — Fais-moi plaisir, oublie-la, ne la porte pas sur le marché.
    — Je te reconnais bien là, et j’avoue que l’idée me plaît. Nous ne penserons qu’à ce petit détail très excitant, invisible aux yeux des autres.
    
    Aussitôt dit, aussitôt fait ! nous reprîmes la route, il nous fallut peu de temps pour déambuler sur le marché absolument bondé… Que de regards sur Marie ! S’ils avaient deviné la nudité que cachait sa robe ! Je frissonnais de ce plaisir coquin partagé avec elle.
    
    Elle allait et venait, fromages, fruits et légumes, puis de quoi prévoir chez le boucher un barbecue pour le déjeuner. La tentation était trop grande pour le brave homme que la vue appétissante de Marie désinhiba sur le champ.
    
    — Et pour vous, ma p’tite dame ?
    — Je voudrais des saucisses, demanda Marie.
    — Les aimez-vous grosses ou moyennes ? Dit-il avec toute la classe que l’on peut imaginer lorsque la question est accompagnée d’un clin d’œil très appuyé, suivi d’un regard circulaire sur les clients afin de bien s’assurer que la délicate réflexion avait fait l’unanimité.
    
    Marie fit mine de réfléchir, et sans se démonter, un sourire charmant aux lèvres, elle répondit que seul le goût comptait. Je la connaissais ...
    ... bien, et sa réponse m’était destinée, j’appréciais, je savourais cette complicité.
    
    — C’est si tu veux et quand tu veux avec le boucher.
    — Ah ah ! Un vrai fantasme, cet homme, le rêve de toute ma vie ! s’esclaffa-t-elle. Et encore, il ignorait le détail seul connu de nous mon amour.
    — Tu les aurais eus gratuitement ! Que dirais-tu d’un café avant de rentrer ?
    
    J’avisais, près de nous, une table libre, Marie s’éclipsa, le temps de se laver les mains, me dit-elle. Les cafés tout juste servis, elle était déjà de retour, se faufilant avec élégance entre les tables.
    
    Cette fois, le regard des hommes présents avait nettement évolué vers un désir palpable presque indécent sous le regard nettement désapprobateur et courroucé de leurs compagnes respectives. L’objet du délit me sauta immédiatement aux yeux : la poitrine de mon épouse, qu’elle avait fort généreuse, avait perdu tout soutien, libérée du carcan qu’impose la pudeur de notre société. La courbure des seins, leur balancement et surtout leurs pointes offertes, acheva d’attiser la part animale de chaque étalon présent. Si seulement… lisait-on dans leurs regards…
    
    — Mon rôle de garde du corps est plus que jamais d’actualité, lui murmurai-je à l’oreille.
    — Un peu audacieux, je le sais, mais apprécies-tu ?
    — À ton avis ?
    
    Exciter mon désir en présence d’inconnus était le but que recherchait bien souvent Marie. Au diable leur présence ! Incapable de demeurer plus longtemps impassible, je caressais ses jambes partiellement ...