Week-end à la campagne
Datte: 30/03/2025,
Catégories:
fh,
couple,
forêt,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
Auteur: Etienne56, Source: Revebebe
... seule sans garde du corps !
— Ma tenue est dans l’esprit de celle des Parisiennes sur les marchés ensoleillés de province l’été. Par ailleurs, je sais parfaitement me défendre.
— Je le sais bien, et être à tes côtés sera une fierté pour moi qui me régale tant des regards envieux sur ton passage.
— Allons-y, tu vas adorer le coin, il est magnifique !
Marie connaissait bien la route, une petite départementale qui traversait prairies, zones boisées et charmants petits villages. Si le paysage était effectivement très beau, il en était un autre plus captivant, je dirais même envoûtant… celui que m’offraient ses cuisses largement découvertes.
— J’adore tes jambes, lui dis-je tout en les caressant.
— Je le sais, et tu sais ce que tes mains provoquent en moi.
Sa tête tournée vers moi, je pouvais voir l’éclat si particulier de ses yeux verts dans ces moments-là. Je la contemplais – épaules nues, jambes bronzées largement offertes –, je humais avec délice les effluves de son parfum. Elle était si belle. Je l’aimais comme je la désirais. Sans retenue. Je me penchai vers elle, embrassai son épaule, son cou.
— Etienne, je conduis, si tu continues ainsi, je ne réponds plus de rien !
— C’est un peu tard, mon amour, depuis ton apparition dans les rayons du soleil, je n’attendais plus que ce moment d’intimité avec toi.
Et ma main de reprendre son cheminement le long de sa cuisse – j’adorais son grain de peau pareil à de la soie –, plus haut, toujours plus haut jusqu’à ...
... s’insérer entre ses cuisses chaudes. Paroxysme du désir. Elle écarta sensiblement les jambes, sensible, furieusement sensible à mon exploration. J’effleurai la dentelle de sa culotte.
— Continue, continue ainsi, je t’en supplie ! me dit-elle
La voiture avait imperceptiblement ralenti, j’en demandais bien plus moi aussi. Glissant un doigt sous l’obstacle de l’élastique, j’atteignis le Graal, son bijou le plus intime. Les caressant, les écartant, je sentais ses lèvres s’humidifier. La raison l’emportant, elle s’arrêta s’offrant ainsi pleinement à mes caresses, jambe à l’appui sur le tableau de bord.
— Ôte ta culotte !
Elle obtempéra aussitôt et après quelques contorsions, jupe relevée, cuisses ouvertes, elle glissa sur l’avant du siège pour mieux s’offrir, s’ouvrir, dirais-je. L’impudeur de la situation me faisait perdre la tête, ivre de plaisir. Je me penchais alors vers elle, embrassant son minou trempé, léchant son clitoris, elle adorait cela, je le savais.
— Comme j’aime ça ! Et quel pied de voir les voitures passer si près, tu me rends folle !
J’adorais la voir ainsi. Ma langue et mes papilles se délectaient de sa liqueur, sentaient son petit haricot gonfler, durcir. Je prenais du plaisir à la faire autant mouiller.
— Continue, encore, encore, tu vas me faire jouir !
Elle gémissait, haletait, de plus en plus fort, de plus en plus vite. Son corps agité de tremblements se raidit soudain.
— Tout ce que tu veux, encore, encore, ne ralentis pas, je ...