Jean-Phi
Datte: 26/07/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
cadeau,
grosseins,
fépilée,
caférestau,
anniversai,
BDSM / Fétichisme
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
Auteur: Broutchoux, Source: Revebebe
... pine, langue. Et quand ton sperme m’envahit, j’explose, je crie mon nirvana. Tu as été le premier à me faire l’amour, le premier à me baiser sauvagement. Tu as eu l’exclusivité de ma chatte depuis 25 ans.
Son récit me rend fou, je suis ailleurs… Je l’écoute comme dans un rêve, je suis à la limite de jouir ; je ne peux m’empêcher de me masturber discrètement à travers le pantalon. Brusquement je marque un temps d’arrêt, je redescends sur terre : elle a dit « Tu as eu l’exclusivité de ma chatte. »« Tu as eu… » ! Je comprends ; je blêmis.
— Alors, mon poussin, tu es malade ? Tu passes du rouge au blanc. Mange ta salade et commande-moi un bon vin blanc, tu sais, ton fameuxTerres Secrètes du Mâconnais.
Le serveur dépose nos salades. Elle attrape sa main.
— Vous avez les mains douces, Madame, mais lâchez-moi s’il vous plaît.
Elle le regarde.
— Vous avec des mains puissantes, beau brun. Mon chéri doit vous commander quelque chose.
Voilà maintenant qu’elle veut boire du vin blanc… c’est une première. Avec les deux coupes qu’elle a déjà bues, ça va faire des dégâts ! En plus, du Mâcon blanc avec le saumon ou avec une salade périgourdine, ça n’est pas le meilleur accord. Ce que femme veut, dieu le veut ; alors je m’exécute.
Autour de nous, les discussions ont repris ; tout le monde mange, les tables sont gaies. Ma Zaïa mange sensuellement sa salade de saumon, ses cheveux noirs méchés lâchés vers l’arrière, la poitrine en avant, qu’elle bouge plus que de raison. ...
... Elle écarte bien les bras pour que tous admirent par transparence son magnifique 95D ; et toujours son rouge à lèvres qui déborde un peu.
Je suis perdu. Elle m’excite terriblement, mais elle vient de m’annoncer, mine de rien, que je n’ai plus l’exclusivité de son corps, de son sexe. Elle mange tranquillement ; moi, je n’arrive pas à avaler quoi que ce soit. Ma gorge est serrée, les mots ne sortent pas, et impossible de profiter des magrets et gésiers de ma salade.
— Tu ne manges pas, mon chou ? Tu n’as pas faim ? Bois un verre, ça passera mieux. Moi, je suis affamée ; je mangerais un étalon ! J’ai besoin de reprendre des forces, la journée a été dure.
Ses paroles sont toujours pleines de double sens, son ironie est une torture. Une fois son assiette vidée, elle me regarde tendrement et me dit posément :
— Mange tranquillement, mon amour ; maintenant que j’ai fini, j’ai des choses à te dire. Ne me coupe pas la parole, sinon tu le regretteras ; et peut-être qu’à la fin tu seras le plus heureux des hommes, mais peut-être pas.
Le silence se fait à nouveau aux tables proches ; elle se met en scène et me ridiculise, la garce.
Cet après-midi vers 14 heures, j’entends une voiture qui se gare devant la maison. Je me suis dit :« Mon chéri a pris sa demi-journée pour notre anniversaire, et comme d’habitude il m’a préparé une surprise ». J’étais heureuse.
Quelqu’un sonne à la porte ; je me précipite, toute guillerette. J’ouvre, et je suis face à un magnifique bouquet ...