Jean-Phi - Histoires de Sexe

Jean-Phi

... j’étais une femme exclusive…

Elle me laisse méditer pendant quelques secondes.

— Tu aimes regarder mes seins à travers mon chemisier ? Je peux te dire que le type derrière toi, il adore ; ça fait un moment qu’il a son pastis, mais il n’y a pas touché. Ne te retourne pas, regarde-moi dans les yeux ! Je suis sûre que vicieux comme tu es, tu bandes à t’en faire mal.

Que répondre ? Je suis tendu comme un arc, et pas seulement dans mon pantalon. Je ne dis rien, juste un signe de tête et j’attends la suite, anxieux et excité.

— Tu sais, mon amour, j’adore quand tu caresses ma chatte comme tout à l’heure. J’adore quand tu descends le long de mon corps, me couvrant de baisers, me léchant le cou puis les seins, puis que tu me mordilles les tétons dressés ; ensuite que tu descends doucement pour me lécher le nombril tout en caressant mes gros seins et qu’enfin tu atteins mon minou. Et là, je craque quand tu l’embrasses doucement, que tu lisses mes poils, que tu écartes mes grandes lèvres avec ta langue, que tu lèches mes petites lèvres et bois à ma source, que tu remontes un peu, que tu souffles sur mon clito puis que tu le lèches délicatement avant de l’aspirer, que tu ajoutes un doigt dans ma chatte, puis deux que tu les replies vers le haut, que tu me fais crier avec ta langue sur mon bouton et tes doigts qui titillent mon détonateur. Tu aimes ma chatte ?
— Oui, je l’aime, mais parle moins fort : tout le monde t’écoute. Si tu continues, je te la broute sur la table, ...

... ta jolie chatte rasée.

Tout en disant ça, je retire mon pied gauche de mon mocassin, l’avance sous la table pour lui caresser le pied ; je remonte sur la cheville et le long de sa jambe.

— Ah non ! Retire ton pied, c’est indécent dans un lieu public ! Écoute-moi, goujat ! Ah oui, j’oubliais : tu as vu ma belle chatte rasée tout à l’heure ; tu as été surpris, j’imagine. Je suis sûre que tu as craqué.

La salope, elle me provoque et elle me frustre en même temps ! Quelle femme !

— Je sais que tu aimes ma chatte. Moi aussi, j’adore quand tu te colles derrière moi en cuillère, que ta queue glisse entre mes fesses pour venir réveiller mon puits d’amour, que ta bite frotte ma chatte et que ton gland cherche mon clito. Je mouille et je m’ouvre pour que ta queue me prenne, je tends mes fesses vers toi, je te dis « Viens, prends-moi !» mais tu résistes, tu me fais attendre. Puis d’un coup tu m’envahis ; je sens ton ventre contre mon cul et ta queue en moi, enfin. Je deviens folle quand tu me bascules sur le ventre, que tu me relèves le cul et que ta bite s’enfonce plus loin et m’ouvre complètement. Tu laboures mon con et cogne régulièrement mon point G, tu m’écrases sous ton poids. Je deviens chienne quand tu me retournes brusquement que tu me baises comme un fou, à la missionnaire, en frottant ton braquemart brûlant contre mon bouton ultrasensible, que tu me lèches les seins et m’enfonces d’autorité un doigt dans le cul. Je suis pleine, je ne suis plus que sexe, mouille, ...