Sophie (partie I)
Datte: 21/03/2025,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
caresses,
nopéné,
québec,
Auteur: Rb07, Source: Revebebe
... remonter mes mains le long de ses côtes, contournant ses épaules, pour prendre son visage et le conserver tout près du mien. Nos lèvres gloutonnes redoublèrent d’ardeur à caresser celles de l’autre, et nos esprits s’envolèrent dans le désir qui les submergeait. Rapidement, je me retrouvai à empoigner ses seins qui réussissaient toujours à m’arracher des gloussements de bonheur quand, au creux de ma paume, je les sentais répondre à mes avances, me communiquer leurs envies. Je percevais toujours ce signe comme une invitation à pousser plus loin mes intentions salaces, quoique je ne fus animé d’aucune intention. Je ne faisais que continuer ce que l’attitude de Sophie rendait si simplement naturel de continuer.
En m’embrassant, elle me poussait tranquillement vers la table d’examen qui se trouvait derrière moi. Quand j’y fus acculé, elle retira ses mains de mes poches et m’y poussa davantage pour que je m’y retrouve assis. Nos bassins se retrouvèrent à la même hauteur et, de ce fait, nos visages également. J’entourai les hanches de Sophie de mes jambes pour la conserver tout près de moi et, sans briser notre contact labial, je passai mes mains sous son chemisier. Mes doigts rafraîchis par la pluie d’automne la firent sursauter, ce qui n’affecta en rien l’ardeur de ses baisers.
Ses lèvres sur les miennes étaient toujours d’une infinie douceur, d’une volupté sybarite. Je ne me lassais jamais de les avoir sur les miennes, de sentir leur volume souple, leur vivacité, leur ...
... onctueuse fraîcheur. Et surtout, les lèvres de Sophie ne venaient jamais seules. Sa poitrine tout aussi souple et ample se pressait sur mon torse, ses mains parcouraient mon dos, m’empoignaient la nuque, agrippaient mes cheveux. Elle m’envoûtait immanquablement. Cette manière qu’elle avait de me faire tourner la tête m’amenait constamment à désirer ardemment son plaisir, à le chercher et à le faire monter jusqu’à ce que le temps nous oblige à arrêter.
Je retenais Sophie tout près de moi en enfonçant mes doigts dans ses reins et en la tirant vers moi. Elle répondait en m’embrassant toujours plus fougueusement, ce qui attisait davantage mon désir d’être collé à elle. Les simples couches de vêtements entre nous deux devenaient gênantes ; elles tenaient nos épidermes trop loin l’un de l’autre. Je fis remonter son chemisier pendant qu’elle ouvrait ma chemise, et nos ventres purent enfin se retrouver. J’avais laissé mes mains sur ses côtes, et elles ne résistèrent pas longtemps à la tentation de recommencer à pétrir sa poitrine à travers son soutien-gorge. Du pouce et de l’index, je m’immisçai sous les bonnets pour retrouver ses pointes qui me semblaient toujours solliciter de l’attention. J’éprouvais un plaisir absolu à la leur offrir ; c’était une des manières dont nos corps communiquaient si bien. Je sentais les lèvres de Sophie se tendre lorsque je plongeais mes mains dans son décolleté, lorsque j’offrais à son buste les caresses qu’il me quémandait.
En seulement quelques ...