De la petite Marie à la redoutable Malika (1)
Datte: 26/07/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: ManuLolo, Source: Xstory
... soutien-gorge sous sa chemisette verte. Elle frissonnait d’émotion, c’était certainement la première fois qu’elle était aussi proche d’un homme.
Je l’embrassai dans le cou, puis de nouveau sur la bouche, en laissant sagement mes mains sur ses hanches fermes. J’avais pourtant très envie de baiser, envie de cette super petite blonde. Je me décidai :
— Marie, tu veux venir avec moi dans ma tente, c’est le dernier soir, demain c’est le retour chez papa et maman.
Elle eut un regard douloureux avant de se coller de nouveau à moi
— Oh oui, je veux bien Ben, tu sais, je....
Elle eut un frisson. Je lui repris la main pour l’entraîner avec moi, tranquillement, vers ma tente. Je jetai rapidement un coup d’œil alentour. Tout était calme même si, visiblement, il y en avait encore qui ne dormaient pas et chuchotaient...
J’ouvris la tente, fis entrer Marie et refermai tout de suite derrière elle. Heureusement, ma tente était bien tenue, bien rangée, et accueillante. J’ai toujours eu horreur du bazar. Je me mis à genoux devant Marie, accroupie et la pris dans mes bras tendrement. Je me reculai légèrement et entrepris de déboutonner doucement sa chemisette émeraude. Elle frissonna de nouveau, en fermant les yeux. J’étais terriblement excité, je sentais que ma queue était grosse et dure mais, ce qui n’avait pas toujours été le cas avec d’autres filles, je me sentais devoir agir délicatement avec cette petite Marie de 18 ans. Eh, j’avais sûrement du sentiment pour elle, en ...
... tout cas un sentiment bien particulier...
Sa chemise était ouverte mais je ne la lui retirai pas, l’écartant doucement pour découvrir ses seins dans la pénombre. Il n’était pas question d’allumer la lampe, je ne me sentais pas d’organiser dans ces conditions un spectacle d’ombres chinoises ! Je retirai mon t-shirt et approchais ma peau de la sienne, quelle douceur que celle de ses petits seins ronds. Je pris Marie contre moi et l’amenai à s’allonger sur le dos, sur mon sac de couchage, la tête sur mon oreiller. Elle fermait toujours les yeux et sa respiration s’était accélérée. Ma bouche se posa sur son sein gauche que j’embrassais doucement, partout, puis je passai à son jumeau de droite, ma bouche s’arrêta sur le téton qui durcissait, l’aréole était large. J’entrepris de sucer ce sein tandis que je caressais l’autre pointe entre deux doigts. Elle commença à gémir, s’en rendit compte et mit la main devant sa bouche pour ne pas faire bruit. Elle ondulait tandis que je suçai alternativement ses pointes. Quel bonheur ! Cette jeune femme était délicieuse et j’en étais tout ému même si j’avais l’impression que ma queue allait exploser.
Ma bouche descendit d’entre ses seins à son ventre, lentement, patiemment. Arrivé au nombril, je le léchai en déboutonnant le jean de Marie. Je lui fis lever les fesses pour descendre son pantalon le long de ses jambes. Je découvris ses cuisses, douces et splendides, une petite culotte blanche de jeune fille pure, que je baissai doucement, ...