1. De la petite Marie à la redoutable Malika (1)


    Datte: 26/07/2019, Catégories: Erotique, Auteur: ManuLolo, Source: Xstory

    ... que cette fille ! Je me jurai de ne jamais travailler de nouveau avec elle.
    
    Je me déshabillai rapidement et me mis sous la douche tiède, je me savonnais partout et j’étais en train que caresser doucement ma queue couverte de mousse lorsque j’entendis la voix de Marie, qui venait d’entrer dans la douche voisine de la mienne :
    
    — Ben ? Ça va ? Tu sais, ça me fait drôle, je suis triste qu’on rentre demain et je serais triste qu’on ne se voie plus....
    
    Eh, elle avait l’air sincère et cela me toucha :
    
    — T’inquiète, petite Marie, le monde est petit.
    
    Me baissant pour ramasser le bouchon du flacon de gel-douche, j’aperçus les pieds de Marie, fins et délicats, ruisselant de l’eau chaude et mousseuse qui coulait sur la jeune monitrice. J’approchai mon visage du carrelage pour voir si je pouvais jeter un coup d’œil par l’espace qui séparait le sol de la cloison. Je la vis parfaitement, savonnant son visage, elle était tournée vers moi et m’apparut dans toute la beauté épanouie de ses dix-huit printemps. Son corps était admirablement proportionné, ses petits seins étaient bien ronds, les mamelons larges et roses, le ventre plat, de belles hanches plus marquées que je ne l’aurais supposé et un splendide triangle de poils confirmant le caractère naturel de la couleur de ses cheveux. Cette fille était splendide et je ressentis l’excitation qui me gagnait, me donnant une érection maximum. Trois semaines de colo sans câlin, ça commençait à faire long ! J’écarquillais les ...
    ... yeux lorsque sa main pleine de shampoing se posa sur sa toison blonde, faisant mousser les poils, quel magnifique tableau ! Je caressais ma queue gonflée lorsque je la vis passer deux doigts plus bas, découvrant les lèvres roses de son sexe.
    
    De mon côté, je laissais toujours couler la douche pour masque le bruit de ma respiration. Je n’aurais jamais imaginé assister à une telle scène ; en tout cas c’était la première fois. Peut-être cette dernière soirée allait-elle rattraper tous les mauvais moments du séjour ? Elle tourna les deux doigts rapidement autour du bouton, elle avait l’air d’avoir l’habitude, la coquine...
    
    Un peu sadique, pour le coup, je décidai de l’interrompre avant qu’elle atteigne le plaisir. J’éteignis la douche :
    
    — Toujours là, Marie ?
    
    Elle bredouilla :
    
    — Oui oui, j’ai fini et je me sèche.
    
    Je me séchai également, m’habillai et l’attendis devant les douches en allumant encore une cigarette. Elle sortit peu après. Je la fixai doucement du regard. Elle laissa ses yeux dans les miens, l’air triste. Je m’approchai d’elle, pris ses mains dans les miennes et l’embrassai rapidement sur la bouche. Elle avait le goût de cerise. Elle resta quelques secondes immobile avant de sembler se rappeler où nous étions et de vérifier que personne n’était présent et n’avait assisté à cette courte scène. Je l’attirai vers l’ombre d’un arbre, à l’abri de l’éclairage et la serrai doucement contre moi. Je sentis la pointe de ses seins, elle n’avait pas remis son ...