1. Le 13e étage


    Datte: 17/03/2025, Catégories: fh, voisins, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, caresses, intermast, Oral 69, pénétratio, fdanus, jouet, québec, totalsexe, Auteur: Rb07, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Les rencontres secrètes avec ma voisine se font toujours plus charnelles et intenses. Elle me fait bénéficier de son expérience et n’hésite pas à m’initier à de nouvelles pratiques.
    
    Sophie et moi étions réunis pour une fin d’après-midi, à la faveur des vacances scolaires qui m’avaient amené à avoir une semaine, seul, à Montréal, retenu par le travail, alors que la famille s’était éparpillée aux quatre coins de la province. Sans trop m’en apercevoir, déjà plus d’une année s’était écoulée depuis que nous avions entamé cette relation clandestine si exaltante, jouissive, et toujours empreinte d’amitié, de profonde bienveillance, et d’un amour inattendu. Le plaisir de nous retrouver, la fébrilité, étaient constants, surtout quand quelques semaines nous séparaient de notre dernière rencontre. Nous nous jetions parfois l’un sur l’autre comme des affamés. Parfois ? Plutôt souvent.
    
    Quelques mois auparavant, à la faveur d’un moment de repos où ma tête reposait entre ses deux seins nus, sa voix résonnant à travers sa poitrine m’annonça :
    
    — Je vais déménager.
    
    Mon cœur avait marqué un temps d’arrêt, j’en suis certain, en imaginant ce que « déménager » pouvait signifier pour une femme en couple avec une globe-trotteuse.
    
    — Déménager ? Loin ? avais-je répondu en tentant de conserver un air cool.
    — Vers l’ouest, un peu. Un condo près du centre-ville.
    
    Soulagé par cette distance peu conséquente, je m’enquiers des détails logistiques.
    
    — ...
    ... Ah oui ? Pourquoi, quand ?
    — Le premier juillet. J’échange avec une collègue qui manque de place pour sa marmaille à venir. Pour ma part, je peux vivre dans plus petit avec Noémie.
    
    À Montréal, le premier juillet est le point culminant du festival du déménagement, occultant de loin les festivités de la fête du Canada, somme toute peu soulignée par les francophones aux racines séparatistes. Il faut dire que ceux-ci sont encore un peu saouls, sinon migraineux, de la fête de la Saint-Jean-Baptiste, la fête nationale des Québécois, qui a lieu une semaine plus tôt. Donc, ce ne fut pas tant l’échéance très rapprochée que la raison du déménagement qui me fit réagir. Celle-ci me semblait incroyablement généreuse considérant la crise du logement qui sévissait. En fait, j’étais un peu sans mot et c’est Sophie qui enchaîna :
    
    — J’avais des ambitions de me faire un joli potager, mais les écureuils ont tout ravagé, j’ai une pièce que je ne visite que pour épousseter, et cet autre appartement est encore plus rapproché de mon travail. Je peux m’y rendre à pied. La ruelle va me manquer, mais je n’en profitais pas très fréquemment. Tout bien réfléchi, cet autre appartement va me convenir à merveille, et mon appartement actuel sera bien mieux adapté pour ce couple en processus avancé de reproduction ; ma collègue devrait accoucher de son deuxième vers la fin de l’été.
    
    J’étais resté muet, ingérant ce flot d’informations tout en tentant d’y déceler une brèche. Sophie cachait-elle un excès ...
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