Ophélie - Histoires de Sexe

Ophélie

... prochaine, de son arrivée, de ma hâte de l’accueillir chez moi, de pouvoir nous connaître vraiment et pour tout dire de pouvoir coucher ensemble, enfin.
— Oui, ça se comprend.
— Au bout d’un moment, il m’a dit qu’il n’en pouvait plus d’attendre, qu’il avait envie de moi, qu’il m’imaginait toute nue sans arrêt…

Elle s’arrête, ne sachant pas comment dire les choses.

— Oui, il a fini par te demander une relation virtuelle par webcam.
— C’est ça, d’abord mes seins. Il m’a demandé de retirer mon haut puis mon soutif, de me tripoter les tétons, de me les lécher. Il s’est déshabillé et s’est mis à se masturber devant moi. C’était excitant de voir sa verge dressée en sachant que c’étaient mes seins qui provoquaient cela.
— Bon. Jusque-là, il n’y a rien de grave. Vous vous êtes donné du plaisir à distance. Je l’ai fait moi aussi, si tu veux savoir.
— C’était consenti, mais après ça a été horrible. Il m’a dit qu’il voulait voir mon sexe, me découvrir entièrement. Que j’étais belle ! J’ai accepté, retiré tous mes vêtements. C’était très cru. Il voulait que j’écarte les cuisses, mes poils, que j’ouvre ma chatte, que je fasse un gros plan dessus, que je lui prouve que j’étais encore vierge, voire mon hymen, comme je le lui avais dit. Tu n’es pas choqué, j’espère ?
— Tu parles. Je peux tout entendre. J’ai une vie sexuelle très imaginative et tu ne risques pas de me surprendre, je pense. Tu es encore vierge, Ophélie ?
— Oui, je me masturbe souvent, mais je n’ai jamais été ...

... pénétrée par un homme.
— Je ne suis pas inquiet, Ophélie. Perdre sa virginité n’est pas un but en soi. Je suis simplement surpris qu’une jolie femme comme toi, qui a des envies, le soit toujours.
— Hé bien si. C’est un problème pour moi, car je ne souhaite pas le rester. Ce n’est pas ce que je veux.
— Et tu voulais que cette première fois soit romantique, avec lui, pas comme ça avec une caméra ?
— Non, je ne suis pas prude. J’avais déjà fait des sexcams avec d’autres hommes, juste pour se donner du plaisir.

Il m’a alors dit qu’il voulait jouir en me regardant me doigter en levrette, voir mes belles fesses.

Je me suis mise à quatre pattes, enfin tu imagines, bien cambrée, le sexe ouvert et je me suis offerte en me doigtant de mon majeur, en me caressant le clito.

— D’accord. Vous avez joui ensemble ?
— Non, c’est là que c’est l’horreur. J’ai vu quatre autres mecs apparaître et éjaculer ensemble en éclatant de rire.
— Merde, les salauds, le sale petit con, lui surtout !
— Je me suis cachée avec mes vêtements et avant que j’aie le temps de couper la caméra, ils m’ont dit des horreurs comme le fait que j’étais une grosse qui resterait toujours vierge, juste bonne à montrer son gros cul pour être aspergée de sperme. Je me suis sentie trahie, souillée, presque violée. Que des mecs aient pu me voir me déshabiller, mater mes seins, ma chatte et mon cul, me voir écarter les cuisses en grand, totalement impudique, m’entendre gémir.

La situation qu’elle me décrit me ...