1. Ophélie


    Datte: 15/03/2025, Catégories: fh, hplusag, grosseins, groscul, magasin, telnet, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Oral pénétratio, init, initiat, Auteur: Marcdumans, Source: Revebebe

    Ophélie est une jeune femme que j’ai rencontrée par hasard.
    
    Vendeuse dans un magasin de fringues que j’aime bien, elle m’a toujours bien conseillé.
    
    Au bout d’un certain temps, elle me reconnaissait et nous avions lié, si ce n’est une amitié, en tout cas, une relation de confiance.
    
    Il faut dire que l’on me considère comme quelqu’un de très sociable. Il est vrai que j’échange facilement et donc que l’on se confie aisément à moi. C’est comme ça. Même si c’est sans arrière-pensée, ça m’a valu des opportunités de rencontres féminines très intéressantes.
    
    Cela faisait un an et demi que je la croisais régulièrement dans le magasin. Je lui donnais presque la trentaine ; elle avait 25 ans.
    
    Ce n’était pas un canon. Un peu enrobée, mais agréable à regarder, la fin du port du masque m’avait permis de découvrir un visage charmant. Sa taille fine et sa poitrine opulente(Moi et les gros seins ! Une passion depuis mon adolescence) étaient très agréables à envisager.
    
    Un jour que j’étais venu pour renouveler mes chemises, elle m’avait aidé à les choisir avec goût, plutôt cintrées, et elle m’avait confié presque rougissante qu’avec mon torse musclé, ce n’était pas difficile de trouver des vêtements me mettant en valeur.
    
    Je lui avais retourné le compliment sur le fait que sa jupe au-dessus du genou lui allait à ravir et que cela permettait de voir ses jolies jambes. C’était sans arrière-pensée, juste pour lui faire plaisir, mais elle semblait avoir apprécié, les yeux ...
    ... presque humides, manifestement émue. Personne ne lui faisait ce type de compliment, m’avait-elle confessé.
    
    Évoquant le fait que son compagnon ou son mari devrait remarquer plus souvent ses efforts vestimentaires, son visage souriant s’était éteint, empreint d’une certaine tristesse. Cela m’avait attristé d’avoir provoqué cela.
    
    Un mois plus tard ou trois semaines, difficile de me souvenir, j’étais venu remplacer un pantalon gris trop usé à mon goût. Elle m’avait accueilli avec joie, vêtue de la robe en dessous du genou noire, très élégante, puis son visage s’était éteint. Était-ce ma maladresse passée qui avait rompu le charme de ces rencontres épisodiques ?
    
    Malgré un maquillage soigné, je voyais bien qu’elle semblait fatiguée, voire triste. Sans doute même avait-elle pleuré.
    
    Comme à son habitude, elle me trouva la perle rare, un magnifique pantalon gris souris. Toute seule dans le magasin(il était à peine 10 h et il venait d’ouvrir) elle s’occupa de l’encaissement.
    
    Après avoir réglé, je m’inquiétais de son état de santé, sincèrement. Elle en fut touchée et fondit en larmes.
    
    Je suis très empathique et j’avais envie de la serrer contre moi, mais voulais éviter toute situation ambiguë.
    
    Elle semblait avoir envie de me parler, quand une cliente entra dans le magasin.
    
    Elle sécha ses larmes. Je lui demandais à quelle heure elle terminait et lui donnait rendez-vous à 19 h dans le café au coin de la rue.
    
    À 19 h 15, je la vis arriver. Elle s’assit et nous ...
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