Ophélie
Datte: 15/03/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
grosseins,
groscul,
magasin,
telnet,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
init,
initiat,
Auteur: Marcdumans, Source: Revebebe
... choque. Je me rends compte que je me suis pris d’affection pour cette jeune femme. J’avoue que je bande aussi, non pas à l’idée de ce qui lui est arrivé, mais plutôt à cause de ce qu’elle me décrit, le fait de l’imaginer totalement nue et ouverte en train de se masturber. Il commence à se faire tard. J’ai une longue journée le lendemain. Je la prends par l’épaule et la réconforte tant que je peux.
— Tu es tombée sur des sales petits cons. Tu es jeune, tu es jolie, tu vas rencontrer de jeunes hommes qui seront dignes de ta beauté et de ta sincérité. Je dois rentrer maintenant, car je dois me lever de bonne heure. Je repasse au magasin la semaine prochaine. Si tu veux, je t’emmène dîner et on pourra en parler.
— Tu sais, Marc, c’est un peu plus compliqué que cela. Je commençais à avoir confiance dans la possibilité que je puisse charmer un homme, mais ce que j’ai vécu hier fait suite à un autre événement. J’aime bien discuter avec toi, tu me comprends, tu es un homme et franchement je n’arrive pas à comprendre ce qu’il peut y avoir dans la tête de la gent masculine. Si tu veux, la semaine prochaine, je t’invite à manger chez moi, comme cela nous serons plus au calme pour que je t’explique.
— C’est d’accord !
Je la prends dans mes bras, je l’embrasse sur les deux joues et nous nous quittons.
La semaine suivante, je passe acheter quelques vêtements juste avant la fermeture. Elle sort de la boutique après l’avoir fermée et nous nous rendons chez elle, quelques pâtés de ...
... maisons plus loin. Cet immeuble haussmannien dont elle occupe un appartement très cosy situé dans les combles. C’est charmant, aménagé avec beaucoup de goût.
Elle a préparé quelque chose de léger. Elle a ouvert une bouteille de rosé, qui n’est pas mauvais, même si ce n’est pas le vin que je préfère.
Nous n’avions pas osé entamer la conversation. Je l’ai trouvée moins peinée que la dernière fois que je l’avais vue, comme apaisée d’avoir pu me parler, mais quand même grave et résignée.
— Tu sembles aller mieux, Ophélie. Tu as réussi à encaisser le sale coup que t’a fait cet abruti, j’ai l’impression. Avec toutes les personnes qui passent dans la boutique, je suis persuadé que tu as dû te faire draguer et que tu vas pouvoir passer à autre chose.
— Non, ça n’est pas le cas. Je me suis refermée comme une huître et je ne fais aucun effort pour entrer en contact avec un homme, même si j’en ai vu quelques-uns qui pouvaient me plaire. En fait il n’y a qu’avec toi que je peux parler.
— Ophélie, je t’assure, tu es vraiment très jolie. Ne te bloque pas sur ce qui vient de t’arriver. Tu es tombée sur un sale con ; tu sais il y en a beaucoup ; c’est le cas aussi des femmes. Si tu te laisses affecter par cela, finalement, tu leur donnes raison.
— Ce n’est pas si simple. Je vais t’expliquer ce qui m’est arrivé, tu comprendras mieux. Ça remonte à la fin de mon adolescence.
— Tu sais, tu n’es pas obligée de tout me dire.
— Si, j’en ai envie. Il faut que je me libère de ce poids, ...