1. La plasticité du corps ou la boucherie à l'eau de rose


    Datte: 08/03/2018, Catégories: fh, grossexe, taille, bizarre, boitenuit, collection, hdomine, pied, pénétratio, sm, gifle, sorcelleri, occasion, Auteur: David Blonfali, Source: Revebebe

    ... dehors je marchai un long moment dans les rues. Cette nuit m’avait sérieusement ébranlé. Comment avais-je pu me laisser entraîner dans pareille sauvagerie ? Mais l’étonnante banalité de la vie de la ville me fit peu à peu redescendre sur terre.
    
    Dans les jours qui suivirent j’essayai de multiples combinaisons de morphologie et m’offris ainsi des chevauchées, pour l’ensemble trop exotiques pour moi. Assez peu plaisantes finalement. Le goût de la curiosité me poussait chaque jour, chaque soir, chaque nuit, mais chaque matin l’amertume m’accompagnait un peu davantage.
    
    Par exemple je me retrouvai une fois entre les jambes d’une femme d’une quarantaine d’années d’une vulgarité à toute épreuve. J’étais tombé à ce moment dans un camping de 3e classe. Entre un mobile home décrépi et une caravane rouillée, un dîner sur des tables en plastique jaune avait bien voulu m’accepter. Cette gaillarde, Nicole, portait un boléro dont débordaient deux gros seins.
    
    Elle parlait très fort et s’agitait en tous sens. Mon regard suivait le dandinement lourd et aléatoire de ses mamelles. Elle se vantait de ses exploits sexuels. Elle proclamait tout simplement être le plus grand « garage à bites » du canton, d’avoir tout vu et tout fait en amour. Ses tétons, sa peau bronzée, ses allusions lubriques, sa grossièreté même, tout cela m’avait excité et après quelques verres de gros plant elle me laissa entrer dans une chambre du mobile home. Un des couples s’installait pour dormir juste derrière ...
    ... la cloison. En guise de préliminaires j’eus droit à la narration de l’initiation du mec de sa meilleure amie à la sodomie. Chose dont elle s’était chargée personnellement bien entendu. Tout en parlant, en braillant devrais-je dire, elle baissa son short et se plantant à quatre pattes sur son lit elle m’enjoignit à l’honorer :
    
    — Allez viens me la fourrer ! Hoops rhôô ! Ouch j’ai trop bouffé moi !
    
    Je m’approchai derrière elle, je vis les lèvres de son sexe bailler, pendouillantes. Je voulais bien croire en cet instant que son sanctuaire intime n’avait rien à envier à la fréquentation d’une artère principale parisienne. Des verges en pagaille et sans doute d’autres ustensiles avaient avec les années mué son sentier originel d’adolescente en large tranchée.
    
    L’antithèse exacte des voies du Seigneur en somme : je n’avais jamais vu quelque chose d’aussi pénétrable.
    
    Pour lui rabaisser son arrogance je devais lui offrir une bite hors norme. Je saisis mon sexe et le fis grandir et épaissir jusqu’à la position gros, gros gourdin. Je regardais éberlué tour à tour cette énorme verge tressautante et son vagin béant.
    
    — ALEEEUUURRRS ! Tu me l’enfiles bordel ? Hé Josiane ! Le petit nouveau il trouve pas le trou !
    
    Derrière la cloison la Josiane pouffa. Je m’approchai donc de sa chatte et d’un coup aussi fougueux que possible je lui plantai mon pieu surdimensionné. Je rentrai comme dans du beurre. Je n’en croyais pas mes yeux.
    
    — Haa ! ça y est il me l’a rentrée !
    
    Je la ...
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