1. La plasticité du corps ou la boucherie à l'eau de rose


    Datte: 08/03/2018, Catégories: fh, grossexe, taille, bizarre, boitenuit, collection, hdomine, pied, pénétratio, sm, gifle, sorcelleri, occasion, Auteur: David Blonfali, Source: Revebebe

    ... roses.
    
    Me levant en furie je l’embarquai sur mon épaule et après l’avoir arrosée de quelques fessées retentissantes j’entrai en trombe dans son salon. Ha ! Elle voulait m’énerver la rombière ! La reine du macramé voudrait qu’on lui refasse l’intérieur ? Hulk va s’en charger !
    
    Je la jetai sur son petit canapé. Une gifle pour prévenir tout nouveau dérapage. Puis je saisis sa tête à deux mains et frottai ses lèvres sur mon sexe flasque. Les portes s’ouvrirent et je m’y engouffrai jusqu’à la garde. Elle manqua s’étouffer mais je n’en avais cure. Je me sentais gonfler dans cette petite bouche pourpre. Je voyais sa gorge se serrer, une carotide se dessina le long de son cou si menu.
    
    Je gardais une main sur sa nuque et de l’autre attrapai sa petite télévision cathodique. J’arrachai par le même geste tous les fils et posai la télé par terre. J’interrompis l’apnée, l’empoignai et la couchai par terre, la télé sous le ventre. Sa chatte ainsi exposée se retrouva bien vite remplie. Quelques allers-retours et ma verge retrouva enfin toute sa vigueur.
    
    Elle reprit sa position passive, épaules couchées. Ah pas question ! Je l’attrapai par les cheveux et lui relevai la nuque. Je lui glissai dans la gueule trois doigts de mon autre main. Elle commença à brailler sérieusement :
    
    — ‘a ‘rosse ‘ête ! hooo ! rhoo ! rhoo !
    
    Encouragé je donnais des coups de reins dantesques. Chaque fois que mon ventre venait claquer ses fesses nous avancions de 20 centimètres.
    
    Lorsque l’ensemble ...
    ... télé, rombière et moi-même eurent fini de traverser le salon, je retirai ma main et la fessai à plusieurs reprises. Puis visant son petit trou esseulé j’y plantai un pouce. Elle se cambra. Mon doigt pouvait sentir chaque passage de mon gland.
    
    Sans prévenir, je me retirai soudain et débarrassant d’un revers de bras la petite table de ses verreries, napperons et autres chichis je plaquai le dos de la petite sur la table. J’arrachai d’un mur un canevas figurant quelque odieux soleil se couchant béatement sur quelque plage improbable traversée par des chevaux consternants, et y plantai mon sexe en plein milieu. J’enfonçai ma bite ainsi auréolée dans son vagin en gueulant :
    
    — Petite conne de merde ! Tu le veux, mon coucher de soleil, hein, connasse ?
    
    Et elle de pleurnicher en retour :
    
    — Pas Tahiti 97 ! han ! Pas ! han ! oui ! Tahiti ! hooo ! Tahi… ! oui ! ti ! 97 !
    
    Je me retirai enfin pour lui gicler sur le visage et dans les cheveux, essuyant l’ensemble avec le canevas souillé.
    
    Elle se roula en boule sur la table en serrant l’icône chérie, hoquetant en pleurs.
    
    Épuisé et surtout enfin calmé, je partis me coucher dans son lit mielleux. Elle me rejoignit peu après. Je me souviens que dans la nuit elle me réveilla me disant en boucle avec grande émotion « Merci ! Merci ! Merci ! C’était… Vraiment… Ha merci ! ».
    
    Lorsque je me réveillai le lendemain matin, j’étais terriblement gêné de ce qui s’était passé la veille. Je m’habillai et partis en vitesse.
    
    Une fois ...
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