1. Ouverture d'esprit


    Datte: 05/03/2025, Catégories: fh, ff, fbi, couple, Collègues / Travail amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, Oral fdanus, couplea3, lesbos, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... cuisses sur les accoudoirs, offrant sans pudeur aucune mon intimité à cette adorable collègue que je connaissais à peine.
    
    Karine était d’une exquise délicatesse et me prodigua d’incroyables caresses préliminaires, de sa langue, de ses lèvres, de ses doigts si fins, rapidement son visage fut maculé de mes liqueurs. Je l’encourageai, la guidai vers mon plaisir, mes deux mains enfouies dans sa sombre chevelure de sauvageonne, sa tête entre mes cuisses. Quand j’eus du mal à parler, que mes mots ressemblèrent à des râles bestiaux, que les mouvements de mon bassin se muèrent en ruades incoercibles, Karine aspira d’un seul coup mon clitoris gonflé, comme si elle voulait l’arracher de mes chairs.
    
    Surprise, je sursautai, à mi-chemin entre douleur et plaisir fulgurant, alors ma nouvelle amante inséra deux doigts en moi, écartelant mon vagin pour me branler fougueusement dans un incroyable clapotis. Au moment où je basculai irréversiblement dans l’orgasme, perdant toute notion, Karine retira ses doigts et sans aucune délicatesse, me les enfonça complètement entre les fesses. Mes mains faillirent lui arracher les cheveux et je feulai comme un félin agressé, le corps en feu, les yeux révulsés, en proie à de violents spasmes.
    
    — J’avais raison d’être jalouse, jamais je n’avais fait jouir une femme aussi violemment que toi. Tu aimes vraiment les mecs ? Dommage… En tout cas, c’est toi qui m’as couvert la figure de foutre, c’est impressionnant ce que tu gicles.
    — Karine, j’ai déjà ...
    ... fait l’amour avec une femme, comme tu le sais, mais avec toi c’est encore plus intense, j’ai failli m’évanouir. Tu es toujours aussi… aussi… rude ?
    — Ça dépend si on sait m’exciter ou pas. Avec toi, j’ai même dû me retenir.
    
    Quelle incroyable femme, j’en restai endolorie, mais comblée. Me redressant péniblement, je saisis son visage à deux mains et l’embrassai longuement, sa langue dans ma bouche déclencha chez moi une folle envie de la prendre, là, de la voir se tordre de plaisir sous mes assauts, de la sentir couler sur moi. Je la culbutai littéralement sur le fauteuil et lui fis l’amour frénétiquement, mes doigts explorant ses orifices, ma bouche et ma langue les y aidant généreusement, ses gémissements et ses ondulations lascives portant au paroxysme mon excitation. Karine jouit longuement, son corps menu, mais adorable, secoué par un long frisson, avant de retomber au fond du siège, taché de ses sucs intimes, et d’y rester inerte quelques minutes.
    
    — Merci, Magali, de ce moment auquel je n’osais plus rêver, tu m’as donné un plaisir comme je n’en éprouve pas souvent. Mais je dois t’avouer qu’à l’association, mon surnom c’est « l’Abeille ». As-tu une idée pourquoi ?
    — Pas vraiment non, à cause de ton miel abondant ?
    — Non, mais parce que généralement je butine les chattes comme les abeilles le font avec les fleurs, sans en préférer aucune, sans m’attacher, passant rapidement de l’une à l’autre.
    
    Je marquai un temps d’arrêt, pour être sûre de bien avoir compris ce ...
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