Ouverture d'esprit
Datte: 05/03/2025,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
couple,
Collègues / Travail
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
Oral
fdanus,
couplea3,
lesbos,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
Je rentrai à la maison, presque contente que Bastien n’y soit pas, je n’aurais pas osé lui raconter ce que je venais de faire. Fallait-il d’ailleurs le lui avouer ? Comment allait-il réagir ? De toute évidence, j’avais le génie pour me mettre dans des situations délicates, mais ne possédais pas toujours les ressources pour en sortir, mes émotions et mes sentiments l’emportant trop souvent sur la raison et la réflexion.
La semaine s’acheva sans que rien ne se passe, puisque je n’avais rien dit à personne, et que j’évitais soigneusement l’entrée principale de l’entreprise. La météo maussade nous incita, Bastien et moi, à profiter du week-end pour planifier notre stratégie de management de l’entreprise afin de lui rendre le taux de croissance qu’elle méritait selon nous. J’eus de la peine à me concentrer, prétextant un peu de fatigue.
Le lundi, un peu anxieuse, je passai à la réception et confirmai en personne à Karine, imperturbable, aussi ravissante que très professionnelle derrière son comptoir, le maintien de son poste, lui proposant même une augmentation de son temps de travail. En effet, sa collègue de la réception, elle aussi à mi-temps, ne souhaitait pas rester. Objectivement, je n’avais aucun motif valable de la virer, car comme réceptionniste elle était irréprochable selon les collègues consultés. Karine me remercia et me demanda un temps de réflexion avant d’accepter ma proposition. J’en informai partiellement Bastien qui ...
... se montra un peu surpris.
— Ah bon, tant mieux, je craignais que tu dérapes et que tu la vires séance tenante, ou pire encore que tu lui colles une beigne, nous créant des emmerdements dont nous n’avons pas besoin. Tu es devenue diplomate, ma chérie, bravo !
Petit à petit nous prenions nos marques, le matériel commandé fut livré et l’informatisation se mit en place, formations à l’appui, occasionnant des semaines de travail chargées. Le soir, je quittais presque toujours le bureau avant Bastien et passais régulièrement voir Séverine et Antoine, j’adorais m’occuper de ce petit bonhomme. Séverine et moi savions rester sages, mais je ne pouvais résister à lui tenir la main discrètement ou à l’embrasser rapidement, à la dérobée, petit jeu auquel elle se prêtait avec enthousiasme, en riant de bon cœur. Parfois l’éclat de ses yeux évoquait d’autres jeux, alors je la serrais très fort contre moi et lui murmurais mille choses à l’oreille, essayant ainsi de remplacer le désir frustré par une tendresse réelle et immédiate.
Un soir, en rentrant du bureau, Bastien m’informa que Julien et lui s’étaient organisé pour un week-end de vélo en montagne, deux cent cinquante kilomètres, deux cols, départ samedi matin et retour dimanche en fin de journée, pour autant que la météo le permette. Il me demanda, l’œil brillant et complice, si j’étais d’accord :
— J’avais peur que tu ne sois jamais là à cause du boulot, mais en fait ce sont les loisirs de monsieur qui vont faire de moi une ...