1. Ouverture d'esprit


    Datte: 05/03/2025, Catégories: fh, ff, fbi, couple, Collègues / Travail amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, Oral fdanus, couplea3, lesbos, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... les tiens, je dois aussi faire une information générale ?
    
    Karine rougit légèrement à ma remarque formulée de manière un peu acerbe, son regard quitta le mien quelques instants, presque fuyant, je la sentis embarrassée alors je poursuivis.
    
    — Mais qu’est-ce que cela change, pour toi ?
    — Je ne sais pas si j’ose te le dire, c’est un peu brutal, mais ne le prends pas mal…
    —(Un peu hésitante) Voilà, Magali, moi je suis lesbienne, uniquement, et je milite dans une association… dont je suis même la présidente. Et… dans cette association, certaines n’aiment pas beaucoup les bi, parce qu’elles couchent… avec des mecs. Les plus extrémistes, taouées et qui boivent leur bière au goulot, braillent que jamais elles ne pourraient lécher une chatte qui sent le foutre, et que celles qui le font sont des traîtresses à la cause.
    — Wouaouh… ! Quelle finesse… En effet, c’est plutôt trash. Donc, je te dégoûte ?
    — Non. Tu me plais, je te l’ai déjà dit. Même si je sais que tu fais bander la moitié des mecs de la boîte, avec tes robes qui te moulent le cul et les seins, pour moi tu es la classe, la beauté, la féminité, que tu baises avec des mecs me désole, mais je m’en fous. Je n’ai pas de honte de tacher mes culottes quand je te vois marcher dans les corridors, que je regarde bouger tes superbes fesses, tes cuisses musclées, et que je me fais des films… assez… assez chauds.
    
    Il me fallut un moment pour assimiler tout cela : Karine présidente des goudous de la région, lesbienne pure et ...
    ... dure, mais à qui je plaisais manifestement malgré l’idéologie plutôt restrictive de ses coreligionnaires. Allais-je encore céder à mes faiblesses et privilégier le stupre plutôt que la raison ?
    
    — Mais tes tatouées, quand elles te voient fringuée comme tu es, mignonne comme pas deux, délicate et si féminine, elles disent quoi ?
    — Rien, parce qu’elles ne me voient jamais habillée en réceptionniste. Quand je suis à l’association, c’est jean, t-shirt et blouson, pas de maquillage, et parfois même je bois une bière avec les camionneuses, ou plus si affinités.
    — Alors j’ai beaucoup de chance aujourd’hui, Karine, parce que tu es vraiment irrésistible à mes yeux, et que sous peu ma culotte ne va plus pouvoir absorber ce que tu me fais couler entre les cuisses.
    — Alors, enlève-la.
    
    Les choses allèrent ensuite très vite. J’étais tellement excitée que j’en oubliai Bastien, Séverine, et toutes les promesses que je m’étais faites de résister. J’ôtai en me tortillant le panty gorgé de mes fuites et le lui tendis, sans un mot. Karine la saisit et y plongea son visage, les yeux fermés.
    
    — Ton jus de chatte te correspond bien, Madame la directrice adjointe, il est fort, mais délicat, à la fois suave et entêtant, son goût reste sur la langue…
    — Viens le déguster à la source ! J’en ai autant envie que toi, Madame la gouine en chef ! Viens, approche-toi !
    
    Quasiment en transe, les sens chavirés par cette adorable petite femme, j’avançai mon bassin au bord du fauteuil et posai mes ...
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