1. Ça ne coûte rien


    Datte: 22/02/2025, Catégories: fh, hplusag, extracon, inconnu, religion, poilu(e)s, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, photofilm, BDSM / Fétichisme caresses, Oral pénétratio, init, portrait, historique, initiatiq, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... Charles venait de partir, elle vit Léonelle à sa fenêtre, dans un déshabillé plus que déshabillé, un vêtement fait de soie translucide pour ne pas dire transparent, qui laissait voir beaucoup de peau nue, beaucoup trop, et même des appas que nul ne devait admirer.
    
    ,Mais que fait-elle ainsi accoutrée ?
    
    Non seulement sa vêture interpellait, mais elle ne semblait guère s’en formaliser, bien au contraire, car elle s’affichait ouvertement à la fenêtre ouverte.
    
    Un homme grand, distingué, aux rouflaquettes proéminentes passait par là, il souleva son haut-de-forme et salua la femme, qui lui répondit d’un sourire et d’un hochement de tête. Il n’hésita qu’un bref instant, se dirigea vers la belle demeure et frappa à la porte. Une soubrette vint lui ouvrir. Il ne ressortit que bien plus tard, l’air fort satisfait.
    
    Qu’était-ce donc que ce manège ? Manège qui se répéta une autre fois dans la semaine, avec un autre visiteur.
    
    ~o~
    
    Les deux jeunes femmes faisaient assaut d’élégance en ce lundi après-midi, jupe et chemisier blanc cassé pour Euphrasie, robe rouge foncé pour Léonelle qui semblait apprécier cette couleur.
    
    La femme du notaire voyait pour la première fois sa voisine de près. Elle semblait bien jeune pour une veuve, les deux femmes devaient avoir sensiblement le même âge.
    
    — Je vous remercie de votre invitation, je ne connais personne dans ce quartier, pouvoir deviser entre dames de bonne compagnie m’est agréable.
    — C’est tout à fait normal, j’ai moi-même ...
    ... vécu ce moment pénible, de se retrouver seule dans une grande ville inconnue.
    
    Elles discutèrent ainsi de longues minutes, en dégustant un thé et de petits biscuits spécialement préparés pour l’occasion.
    
    — Vous vivez seule Léonelle ?
    — Oui, je suis veuve depuis près d’une année.
    — S’occuper d’une grande maison comme celle-là demande de l’énergie…
    — Et de l’argent, je sais ce que vous pensez.
    — Je ne voulais pas me montrer indiscrète ni impolie.
    — J’en suis sûre, il se trouve que feu mon mari m’a laissé une petite somme d’argent que j’ai réussi à faire fructifier par de judicieux placements. Feu mon époux était armateur. J’avais auparavant exercé quelques activités diverses.
    — Ah… fit semblant de s’étonner Euphrasie.
    
    Léonelle sourit.
    
    — Je vous ai vue à la fenêtre ces derniers jours, vous m’observiez.
    — C’était par le plus grand des hasards.
    — Je n’en doute pas, répondit Léonelle en ponctuant ses paroles d’un geste d’onctueuse componction. Mon mari était nettement plus âgé que moi, or j’aime les joutes de l’amour et mon défunt époux n’était pas un seigneur en ce domaine.
    
    Euphrasie ne voyait pas bien où son invitée voulait en venir.
    
    — J’aime fairela chose, je ne m’en prive pas.
    
    La belle brune ne savait quoi répondre.
    
    — Je vous choque ?
    — Nnnon, c’est simplement que je ne pensais pas que l’on puisse… que l’on puisse y éprouver quelque plaisir.
    — Vous n’avez jamais ressenti une forme de jouissance avec votre mari ?
    — Non, je prends cette activité ...
«12...789...22»