Les saisons d'une vie (2)
Datte: 25/07/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... vertébrale, flirtent un long moment avec la naissance de mes fesses. C’est bon, calme aussi. Et mon envie renait de ses cendres et surtout beaucoup de ses attouchements amoureux.
— Tu veux que je me déshabille ?
— Tu as envie de faire l’amour ? J’aime retrouver ta peau et les sensations qu’elle m’offre. Je me sens chez moi sur ce corps si gentiment offert. Tu aimes ça ?
— Quoi ? Que tu me prennes ou que tu me tripotes ?
— Ben… les deux, non ? Puis je parlais de ce moment avant de passer aux choses sérieuses. Tu adores ces instants qui font monter le désir. Chez moi autant que chez toi du reste. Et dans cette position couchée avec ton visage si près de ce qui nous différencie, je t’avoue que j’ai de drôles d’idées.
— Tu aimerais que je te… la mange ? C’est bien cela ?
— C’est dit avec distinction et ça reflète absolument complètement le fond de ma pensée.
— Alors, mettons-nous à l’aise. Retirons ces vêtements qui font obstacle à nos attentes. Tu veux bien ?
Il ne faut guère plus de deux minutes pour que nous retrouvions les mêmes places, débarrassés de ce textile qui nous couvrait entièrement. Il joue de nouveau sur cette plage qui va de mon cou à mon derrière. Ce n’est pas un vrai massage, seulement des passages d’une singulière manière. Il effleure de sa paume de main toute la partie que la longueur de son bras lui permet d’atteindre. Puis mon visage, si proche de la protubérance qu’il affiche, avance ma bouche qui ne se prive pas de happer ce qui se ...
... tend près d’elle.
Je me fais chatte et ronronne sur le cuir fauve du divan. Il creuse les reins pour que son membre s’enfonce davantage dans mon bec en feu. Et mon esprit lui qui me susurre des tas de trucs impossibles à lui raconter. Quelque part, il fait des comparaisons. C’est bien la troisième queue de la journée, qui entre là, dans ce four pas spécialement prévu à cet effet. Bien entendu celle qui va et vient en cet instant, c’est la privilégiée, la seule du reste autorisée à y faire des séjours prolongés. Je me contorsionne aussi sous l’effet pervers des câlins qu’il me distille d’une main savante.
Il a réussi à se positionner de façon à ce que je sois confortable pour le sucer. Mais ça facilite aussi le voyage de sa paluche qui désormais a accès à mon sexe. La promenade de ces doigts à cet endroit, je la connais par cœur. Elle est sans surprise, bien que j’avoue qu’elle demeure agréable. Mon cerveau voudrait lui crier d’y mettre un zeste de fantaisie, de s’affoler peut-être. En quelques mots comme en mille, mon corps réclame un brin de folie. Comment lui faire savoir que… ce serait mieux avec simplement plus de fougue ?
Oh ! Michel, c’est sans doute ce que m’a apporté cet étranger. Une autre forme de désir, moins feutrée, moins… plus mâle, voilà tout ! Et qu’il y ait associé un autre complice n’aurait rien changé. Je me suis donnée à lui pour retrouver une inspiration qui me fait défaut chez nous. Mais je ne peux pas te l’avouer, tu en souffrirais trop. Alors ...