Sur un sentier Corse
Datte: 18/02/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Le licencieux, Source: Hds
... répondais pas elle ajouta en riant :
— Tu dois me prendre pour une extraterrestre, je jouis en faisant des pipes et je préfère m’enfiler des godes dans le cul plutôt que dans la chatte, comme toutes les filles. Et tout ça, je ne peux pas l’expliquer. C’est comme ça.
Je ne jugeai pas utile d’épiloguer et me contentai de lui prendre la main.
Elle la serra puis lança encore :
— Tu sais j’ai jamais parlé de tout ça avec personne et si ça te gène je m’arrête.
— Ça aurait plutôt tendance à m’exciter, répondis-je.
— Ouais, je vois, fit-elle en posant les yeux sur ma queue. Puis elle explosa de rire en ajoutant : t’es quand même sacrément bien monté.
— Trop, tu crois ?
— Oh non, ça sûrement pas ! cria-t-elle presque en laissant courir sa main sur l’objet.
Je souris, cherchant à la taquiner.
— Tu n’es pas toujours obligée de la toucher, tu sais.
— Tu rigoles j’espère, répondit-elle aussitôt en caressant le gland du bout des doigts. Puis soudain elle me regarda au fond des yeux.
— Tu me trouves salope ?
— Un peu, répondis-je en ajoutant aussitôt : mais ça me plait.
Puis je levai la main vers sa poitrine et la complimentai :
— T’as de sacré beaux seins, tu sais.
— J’aime bien quand tu les touches.
Je ne me privai donc pas de la peloter et téter ses gros mamelons.
— Hum, c’est bon, minauda-t-elle.
Lorsque je cessai mes caresses elle pivota et vint se placer sur moi pour un « 69 » savoureux.
Elle jouit deux fois.
Moi, ...
... une seule.
Puis nous nous rallongeâmes.
Elle ne tarda pas à s’endormir… A plat ventre.
Je la regardai un long moment avant de la couvrir de baisers puis je n’y tins plus : je m’allongeai sur elle et cherchai le chemin de sa chatte.
— Non chéri, encule-moi, lança-t-elle alors.
J’accédai volontiers à sa demande et je me glissai entre ses fesses pour une longue sodomie sensuelle.
J’eus le plaisir de l’entendre jouir mais, étrangement, je ne cherchai pas à la rejoindre et me retirai.
Elle se dressa sur les coudes quelques secondes plus tard puis voyant ma queue toujours dressée, elle demanda :
— Tu n’as pas joui ?
Je ne jugeai pas utile de répondre et je plaçai mon bras sous la tête en lançant :
— J’ai envie que tu me branles.
Elle sourit puis avança la main. Elle prit ma queue dans sa paume gauche, puis de l’autre main me pelota les bourses.
C’était bon.
Après un moment, elle murmura :
— Relève les jambes chéri.
J’obéis tout en laissant résonner l’adjectif dans ma tête.
Nous n’étions, certes, pas amoureux mais ces petits qualificatifs que nous distribuions avec parcimonie étaient les bien venus.
Lorsque j’eus replié les jambes, je sentis un doigt pénétrer mon anus et je fermai les yeux.
Evelyne parvint à synchroniser habilement ses mouvements et je voguai rapidement vers le plaisir que j’exprimai dans un rugissement.
— Waou ! fit-elle. Dis-donc, ça avait l’air bon !
— Très, répondis-je sans pouvoir contenir mes ...