1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1669)


    Datte: 14/02/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... sommait de venir près d’elle, ainsi que juliensoumis. Tous deux, en quadrupédie, avancions timidement, effrayés par le sort qu’elle allait nous réserver… Elle lançait à la cantonade :
    
    - Vous deux, vous avez bien travaillés, vous allez être récompensés. Sachez que ce ne serait que de moi, vous ne mériteriez rien du tout, à part ma cravache, mais le Maitre, dans sa grande bonté, a décidé ce matin que les deux meilleurs, ceux qui auraient le plus soigneusement effectués le travail exigé, auraient le privilège de se vider les couilles. Et bien vous deux, esclav’alex et juliensoumis, vous allez pouvoir vous vider les couilles en baisant cette salope, disait-elle en désignant esclave Katia toujours allongés et attachés sur cette table.
    
    Je n’en revenais pas… récompensé ! Et en plus… par une purge de mes burnes, depuis combien de jours je ne m’étais pas vidé ? Dès qu’esclave Katia fut libéré des liens le maintenant écartelés, nous les trois esclaves, suivions à quatre pattes, l’un derrière l’autre, Madame Marie. J’avais sous les yeux, à seulement quelques centimètres de ma bouche, la croupe d’esclave Katia, ce cul alléchant qui m’attirait déjà, ce cul se dandinant sous mes yeux, cette rondelle glabre que je dégustais avant même de l’avoir gouté. Ma nouille s’affolait, cognait contre cette cage, ruisselait entre mes cuisses…. Je ne comprenais pas pourquoi, nous nous retrouvions là… dans des toilettes pour hommes en cette pièce entièrement carrelée de carreaux blancs ! Sitôt ...
    ... entrés, la Cuisinière ôtait ma cage de chasteté, ainsi que celle de juliensoumis, sans omettre de nous empoigner notre hampe et de la serrer fortement de sa poigne dessus, avant de relâcher sa prise. Nos deux nouilles s’érigeaient instantanément… Alors qu’à coups de cravache encore, Madame Marie imposait une posture grotesque et des plus humiliantes à esclave Katia : A quatre pattes, devant les chiottes, la tête dans la cuvette. D’une main ferme, elle attrapait ma chevelure pour que je me retrouve derrière mon congénère prêt à la saillie.
    
    - Tu as intérêt de défoncer cette salope, espèce de bâtard !
    
    Plongé dans une excitation incroyable, avec ce collier au cou comme seule possession, je me sentais soudain libéré de toute forme d’attache, comme un navire qui viendrait de larguer les amarres, sans pilote, sans marin pour le guider. Je positionnais mes mains de chaque côté des hanches d’esclave Katia, prenant le haut de ses cuisses et laissais mon gland épouser l’antre tiède de mon congénère … Et d’un seul coup de bassin, mon membre dur, dressé glissait tout entier en lui. esclave Katia se raidissait et hurlait, tandis que j’entamais les premiers va-et-vient, dehors, dedans, dehors, dedans partageant la tiédeur de la pièce et l’antre brûlante de ses chairs. Agrippé à ses jambes, je prenais de nouveau mon élan et le baisais sans me soucier de ses gémissements de victime, de ses cris aigus de douleur ou de plaisir. Je le baisais d’abord doucement, par des petits à-coups qui ...