1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1669)


    Datte: 14/02/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... derniers coups, torrides et abominables ! … esclave Katia semblait en perdition, plus totalement avec nous, les yeux hagards, baignés de larmes.
    
    - Que ça vous serve de leçon, à tous. Le premier qui n’a pas fait son travail comme il faut, recevra la même chose, bande de sales bâtards, alors au boulot et que ça frotte, les chiens !
    
    Tous les esclaves reprenaient leur poste de travail, laissant notre congénère dans l’effroi, la stupeur et l’excitation, me semblait-il… Et pendant encore un long moment, toutes et tous, nous nous activions plus scrupuleusement, car toutes et tous craignions la rage de cette foutue sadique femme ! Au bout d’un temps certain, Madame Marie, toujours avec sa cravache en main, passait en revue le travail de chacune et chacun, elle scrutait avec attention chaque faits et gestes, claquant ici ou là un cul pour réprimander, rappeler à l’ordre ou sermonner untel ou un autre. Lorsqu’elle s’approchait de moi… je n’en menais pas large… je tremblais même… Le plat de sa cravache effleurait mon trou, alors que je laissais mon entrejambe grand ouvert. Peu après, elle s’accroupissait juste à mes côtés, tirait sur ma chevelure pour redresser ma tête, pour que mon oreille vienne près de sa bouche…
    
    - Tu schlingues salope, tu sens la femelle en chaleur qui s’est fait remplir la chatte durant trois heures de temps et qui en redemande… Tu aimes ça, hein !… Te faire enculer et remplir, n’est-ce pas la pute ? On dirait même que ça te motive… tu as fait du bon ...
    ... boulot, un boulot d’enculée de bonniche !, me susurrait-elle à l’oreille.
    
    Avec toujours sa main agrippée dans mes cheveux, elle me tournait la tête, afin de me regarder droit dans les yeux. Pendant un long moment, elle me dévisageait, avec ses grands yeux ronds, sévères et sadiques. De son autre main, avec son index pointé sur l’une de mes joues, elle reprenait la parole :
    
    - Et là, c’est quoi la pute ? C’est de la mouille… Non ? A qui elle appartient cette mouille séchée sur ton visage de salope ? A cette petite garce que tu as léché avec application ou est-elle celle de Maitresse Karaine ?
    
    Je ne répondais rien à cette énième humiliation… mais sentait qu’elle produisait ces effets… ma nouille gonflait dans sa prison métallique !
    
    - Tu sais que tu ne ressembles à rien… même pas à une putain ! Ou alors si, à une catin largement fouettée qui se néglige, qui ne se lave pas, qui pue du bocal, qui sent le trop plein de foutre et de cyprine… Ouvre ta petite gueule de salope !
    
    Evidemment j’obéissais. Alors là, tel un homme, la Cuisinière se raclait la gorge et m’envoyait un bon mollard en fond de bouche. Je restais ainsi, gueule grande ouverte jusqu’à obtenir son autorisation de la refermer et d’ingurgiter. Peu après, Madame Marie m’envoyait un gifle cinglante, comme ça, gratuitement, juste par plaisir sadique … Puis elle se redressait, me laissait, pour regagner le centre de la pièce. Je pensais en avoir fini avec elle… évidemment, une nouvelle fois je me trompais. Elle me ...