La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1669)
Datte: 14/02/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... cuisinière. Un instant, elle s’arrêtait et me toisait de son regard le plus sombre puis s’adressait à Walter.
- J’emmène cette pute faire les chiottes…
Madame Marie donnait un énième coup de cravache sur le cul de mon congénère, qui lui, stoïque ne bronchait pas. Seul un gémissement sortait de ses lèvres fermées.
- Ce bâtard ne sera pas de trop… je suppose ?, questionnait Walter en tirant sur ma tignasse.
- Oh que oui, y a du boulot ! J’espère que cette salope saura faire preuve d’énergie et d’excellence, malgré les trois heures passées au service de Karaine et de ces deux sbires ! Il parait qu’on lui a bien défoncé le cul à cette chienne, reprenait Madame Marie.
Je laissais les doigts de la cuisinière effleurer ma corolle poisseuse. Elle y cueillait des restes de sécrétions du bout de son majeur, majeur qu’elle enfournait ensuite dans la bouche d’esclave Katia.
- Tiens la pute, avale ça, c’est plein de vitamines, c’est bon pour les chiennes de ton espèce.
esclave Katia ne bronchait pas, se contentait de sucer ce doigt en fermant les yeux… Était-ce par dégoût ou bien par délectation que ses paupières restaient closes ? Impossible de le savoir bien sûr, Madame Marie entrainait esclave Katia derrière elle, alors que Walter me faisait entrer dans ce lieu où déjà une dizaine d’esclaves, mâles et femelles, tous nus, travaillaient d’arrache-pied à laver, frotter, épousseter cette vaste et majestueuse pièce du sol au plafond. A genoux, avec un seau, une ...
... brosse et une serpillère, Walter m’avait désigné le lieu que je devais laver et faire briller. Je m’appliquais ardemment, je m’employais à exécuter les ordres prescrits avec soin et attention. Le ménage n’était pas un problème pour moi, bien au contraire, j’étais plutôt rigoureux, voire maniaque… Chez moi, à la Bastide, bien souvent Louise se moquait gentiment de moi… « Encore un chiffon à la main, Monsieur Alexandre », me disait-elle avec un large sourire ! Alors que je me remémorais ces bons moments de complicité avec cette bonne Louise quand une porte claquait derrière mon dos, me faisant sursauter et stopper dans mon travail et mes rêveries. Madame Marie entrait en hurlant :
- Cette putain a oublié ! Je peux vous garantir qu’elle n’oubliera plus !, disait-elle en assénant de furieux coups de cravache sur le cul d’esclave Katia.
Je ne comprenais rien, mais rien du tout de ce qui se passait… La Cuisinière semblait hystérique, incontrôlable, dans une furie comme jamais je ne l’avais vu… Elle claquait le cul de mon congénère tant et plus, sans arrêt, encore un long instant, jusqu’à ce qu’elle l’oblige à grimper sur cette large et longue table en bois massif. Elle l’attachait, l’écartelait et sitôt après qu’il fut solidement immobilisé, elle fouettait esclave Katia sur le dos, le cul, les cuisses… Lui pleurait, suppliait… mais la Cuisinière continuait, sans relâche, à tel point que de grosses gouttes de sueur tombaient de son front… Elle s’acharnait encore jusqu’à ces cinq ...