Jeux de mains
Datte: 12/02/2025,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
magasin,
essayage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
caresses,
nopéné,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... ensemble parce qu’elles ne se quittent pas. Nous rions de bon cœur tandis qu’elle nous jette un regard noir. Babette, elle, est songeuse.
— Nous vous retenons indûment, Nadine, dis-je en reprenant mon sérieux. Vous aviez encore quelque chose à me montrer, je crois ?
— Oui, oui, en effet. Vous allez adorer, c’est certain. Regardez !
Les deux froufrous qu’elle tire de leurs sachets sont vraiment superbes. Le soutien-gorge et le slip ne sont qu’ajours de dentelles. Dentelles industrielles, certes, mais si artistiquement montées et aboutées qu’aucun point ne semble les maintenir dans leur coupe. Pas la moindre doublure, fût-ce le plus léger voile ou une simple évocation de gousset, n’en ternit la parure. Je m’extasie en détaillant ces merveilles qui, où que je passe mes mains, les laissent comme nues, à peine couvertes d’arabesques ténues pareilles à d’éphémères tatouages beige rosé.
À côté de moi, Nadine triomphe et soupire à la fois.
— J’aimais beaucoup cette ligne de lingerie, magnifique et relativement abordable. La plupart des clientes en étaient folles. Malheureusement, c’est fini, la maison a fait faillite. Ce sont les derniers modèles… Fin de série, comme on dit !
— C’est un peu osé, non ? C’est très beau, mais peut-être assez fragile, aussi ?
— Ah, Madame, cela ne va pas à tout le monde, sourit-elle. C’est pour les grandes occasions ! Il suffit de laver à la main, à l’eau tiède… Passez-les, vous en tomberez amoureuse.
— Oh oui, Marraine ! Essaie-les, ...
... renchérissent Babette et Marion. On veut te voir avec.
Que faire ? Je cède à la tentation. Je n’y résiste pas longtemps, pour dire vrai. Nadine s’offre obligeamment pour dégrafer l’attache du soutien-gorge. Elle ne va pas jusqu’à baisser la culotte pendant que je dégage mes seins, mais elle ne se détourne pas quand je l’enlève. Rester nue devant mes filleules ne me gêne pas. C’est plus embarrassant face à cette jeune vendeuse qui plie avec soin les sous-vêtements que je viens de quitter. J’espère ne pas y avoir laissé de traces révélatrices…
— Vous devriez commencer à vous rhabiller, mes puces, dis-je pour me donner contenance.
— On aimerait les garder sur nous, réclament-elles en chœur. Dis, on peut ?
— Je regrette, je dois passer vos lingeries à la caisse. Il faut neutraliser l’antivol, explique Nadine. Enlevez-les, je les mettrai avec celles de votre tante.
Toujours tout sourire, elle me tend maintenant le soutien-gorge en dentelles. Je me demande en l’enfilant comment mes doudounes sauront s’accommoder de ces bonnets arachnéens, et le souci me rend maladroite. Babette déjà débarrassée de son balconnet vient à mon secours pour l’agrafer dans mon dos. Mes seins sont comprimés, je m’escrime à les ranger en bonne place jusqu’à ce que Nadine m’y aide. De ses doigts légers, elle soulève ici, comprime là, ajuste ailleurs, discipline en douceur un téton récalcitrant, et règle enfin les fines bretelles…
Miracle ! Ma poitrine est soutenue comme jamais. Sa lourdeur s’est ...