Jeux de mains
Datte: 12/02/2025,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
magasin,
essayage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
caresses,
nopéné,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
Journal de Chantal
Un jour de la mi-juillet :
Je suis seule. Les filles baguenaudent à la Fête votive.
Julia est repartie dans les Landes. Brigitte et Sandra sont avec elle pour quinze jours, jusqu’à la fin de ses congés. Je les rejoindrai ensuite pour une bonne semaine, le temps de profiter en famille des plages qu’elles m’ont assuré avoir d’ici là explorées dans le détail.
Christine est chez elle. Elle n’a pu rester longtemps chez moi, des dossiers à terminer pendant la période calme des vacances. J’ai gardé Babette qui tient compagnie à Marion. De fait, ce sont elles qui l’ont souhaité, pour mieux se connaître (d’après leurs dires).
Petit moment de nostalgie, que je meuble en reprenant le fil de ce journal. Cette idée de Julia n’est finalement pas si bête. Je m’y suis pliée pour lui faire plaisir – nous ne devions le tenir que pendant notre rencontre à trois – et je vais maintenant le poursuivre, comme le font mes amoureuses. Cela nous permet de fixer nos souvenirs autant que de les revivre et de nous offrir l’une aux autres notre âme aussi nue que notre corps. L’exhibition absolue… ou l’amour, comme on voudra !
Il est vrai qu’à ce jour, nous n’avons plus rien à nous cacher et nous partageons une totale sincérité. Mais toute personne évolue et nous souhaitons conserver l’harmonie de nos relations,ad vitam æternam si possible.
Nous avons beaucoup discuté, la veille du départ de Julia. Ginette et Stéphanie avaient ...
... proposé aux filles une balade à cheval, et nous, tranquillement installées au club house avec Christine, nous avons passé en revue les évènements de la plage et des chambres.
Nous ne sommes pas dupes, les limites dont nous avions convenu ce fameux après-midi n’ont guère tenu. Sans la rencontre, presque fortuite, quoiqu’intime, de Christine et de nos amies cavalières, qui sait ce qu’il se serait passé le soir ? La virée nocturne dans le plus coté des villages de la Côte a opportunément dévié les pensées érotiques de nos filles. La fatigue aidant, elles n’avaient plus qu’une idée en rentrant, celle d’aller dormir.
Quant à nous, malgré l’heure tardive, la partie de baise éhontée avec Ginette et Stéphanie fut le meilleur des remèdes à nos pulsions lubriques comme aux tourments de notre conscience. La nuit porte conseil, dit-on. Celle-là nous apporta l’assouvissement du corps et la mise à distance des questionnements de l’esprit. Au matin, les tensions de l’une et les culpabilités de l’autre s’étaient apaisées. La visite des écuries qui suivit acheva de dissiper les lascivités juvéniles : quelle pure jeune fille n’est pas irrésistiblement attirée par la gent équine ?
La tentation couvait, pourtant, et nous avons bien failli y succomber deux jours plus tard. Les trésors de rouerie déployés par nos filles pour aboutir à leurs fins ont fini par payer. À force d’insistance et de cajoleries, elles ont obtenu de modifier la répartition des chambres. « Juste une nuit, pour voir », ...