1. Jeux de mains


    Datte: 12/02/2025, Catégories: fff, fplusag, jeunes, magasin, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme caresses, nopéné, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... envolée sans la moindre pression qui la contraigne. C’est comme si j’étais nue, mais en mieux. Incroyable qu’un aussi aérien entrelacs de guipures vous maintienne à ce point. Mon reflet dans le miroir me le confirme, c’est presque une poitrine de jeune fille. J’en rougirais de bonheur. Par contre, on voit tout, globes et mamelons. À peine, pour suggérer un semblant de décence, peau, aréoles et pointes sont-elles sublimées par les dessins qui semblent s’y imprimer. On les dirait tracés par un pinceau d’aquarelle.
    
    Près de moi, Nadine contemple aussi mon image. Sa satisfaction est communicative. Enfin, elle le serait nonobstant l’incongruité du buisson qui me fait honte. Je ne peux m’empêcher d’y porter la main pour tenter de le masquer. Son absence serait en effet plus adaptée à l’élégance du buste. Apparemment, je ne suis pas seule à le penser.
    
    — Le slip se porte en général sur un pubis épilé, murmure ma voisine d’une voix délicate. Mais passez-le quand même. Vous pourrez vous faire une idée si vous oubliez les poils.
    
    Le linge du bas est à l’avenant de celui du haut. J’hésite à glisser mes jambes dans ce filet improbable de peur de le déchirer. Nadine à genoux me propose l’assistance de son épaule en guidant tour à tour mes pieds. Je n’ose tirer trop fort sur les dentelles. Elle lève les yeux pour suivre l’ascension prudente de mes mains, son regard est engageant. Je m’enhardis en arrivant aux cuisses. Pas un cil ne bouge lorsqu’elle fixe ma chatte. Bizarrement, ...
    ... malgré la présence de mes filleules quasi nues, je n’ai aucun scrupule à la laisser scruter mes formes débordantes. C’est de réussir à les enfermer sans accident qui me préoccupe.
    
    — Vous permettez ? Je vais vous l’ajuster…
    
    L’intonation est neutre, le geste est naturel. J’acquiesce à l’une, je m’abandonne à l’autre. Je réfrène les frémissements qui me traversent. Mais je ne peux dissimuler le frisson que causent ses doigts en évitant le froissement de mes nymphes. Peut-être s’attarde-t-elle trop à les disposer à plat ? Je ne sais pas, je ne veux pas savoir si son impassibilité est feinte ou non. Je lui fais confiance, et c’est agréable…
    
    — Voilà, c’est fini, annonce-t-elle en se redressant. Regardez-vous. N’êtes-vous pas conquise ?
    
    (Oh si ! Je le suis même avant de me voir dans le miroir. Pas forcément pour l’esthétique…)
    
    Disons-le tout net, le résultat est au-dessus de mes attentes : j’ai peine à me reconnaître dans mon image. Complétant la poitrine avantageuse, la culotte – si l’on peut l’appeler ainsi – est minuscule. Ma touffe étirée vers le haut en dépasse, ornement qui dénote, hélas ! Mais la vulve ainsi dégagée se décore des arabesques qui répondent à celles des bonnets et semblent s’inscrire directement sur les grandes et les petites lèvres mises en évidence. Comme un tatouage ton sur ton, chair sur chair.
    
    Je me tourne. L’envers vaut l’endroit, mes fesses se parent aussi de ténus dessins. Je me penche. J’entraperçois l’effet quand la dentelle se tend. Hum, ...