Le premier mai, je fais ce qu'il me plaît.
Datte: 07/02/2025,
Catégories:
fh,
inconnu,
fépilée,
danser,
BDSM / Fétichisme
Oral
fgode,
pénétratio,
jouet,
délire,
Humour
Auteur: radagast, Source: Revebebe
... faites-vous là ?
— J’ai oublié mes clefs à l’intérieur, mon mari n’est pas là, j’essaie de rentrer chez moi, mais je suis coincée dans la fenêtre.
Je n’ose imaginer le spectacle que je lui offre, la jupe retroussée sur ma taille et les fesses à peine couvertes d’un mini string. En tout cas il se marre bien, je l’entends glousser.
— Si je peux vous aider, ce sera avec plaisir, que faut-il faire…
— Merci Bernard. Si vous pouviez me décoincer en me poussant…
Vu ma position, il ne peut que poser les mains sur mon postérieur et pousser, d’abord délicatement, puis un peu plus vigoureusement, sans grand effet, à part de m’écarter les fesses en grand et de faire entrer plus profondément la ficelle du sous-vêtement dans la raie de mon cul.
— Je vais essayer de vous tirer, me renseigne-t-il d’une voix mal assurée.Tirer a plusieurs acceptions, j’ai des doutes.
Je l’entends remuer des trucs autour de moi.
— Je rajoute des pierres pour me rehausser, m’informe-t-il.
Il me saisit les hanches et tire, toujours sans grand effet. Mais… il me baisse le string cet animal.
— Désolé, j’ai tiré trop fort… En même temps, vos vêtements bloquent, ils sont trop épais.
C’est vrai qu’un riquiqui mini string va faire une différence. Faudrait quand même qu’il se magne, car j’ai le ventre comprimé et ma vessie se rappelle à mon bon souvenir.
Mais… que fait-il ? Il écarte mes cuisses et vient fourrer sa tête entre elles, pose ses lèvres sur les miennes et passe un coup de ...
... langue tout le long de la fissure.
— Hiii ! Ber…nard, gémis-je. Que faites-vous ?
Question stupide, je sais très bien ce qu’il fait, il ne cueille pas du muguet !
— Désolé, c’est trop tentant, m’explique-t-il entre deux lapements, puis ça va vous détendre.
L’occasion fait le larron, mais je ne regrette pas. Il est vrai qu’avec l’épisode de l’Italien ce soir, j’ai les hormones en folie et une sorte de frustration mal placée. C’est qu’il sait y faire monsieur Bernard Guilé, qui, si mes souvenirs sont justes, travaille à la SNCF et de ce fait possède un don pour me fourrer sa langue dans le train.
Il doit en outre vouloir se défouler, il a certainement manifesté – tout le monde est syndiqué à la SNCF – et a dû passer sa journée à hurler des slogans dont tout le monde se fout.
Je souffle, me tortille pour présenter mon meilleur profil à sa langue agile. Un de ses doigts m’agace le bourgeon tandis qu’un autre s’insinue dans mon entrée de service. J’ai le cerveau en roue libre et je pars vers des contrées que je n’ai plus visitées depuis belle lurette.
Je tremble, agite mes jambes et perds presque connaissance. Lorsque je retrouve mes esprits, je me rends compte que je suis décoincée de la fenêtre. Par contre, j’y ai laissé jupe et crop-top. L’une dans le jardin et l’autre dans la cuisine. Certainement un effet conjugué de mes trémoussements et de la transpiration, et aussi des efforts de mon gentil voisin. Bernard me serre contre lui, car je ne tiens pas sur mes ...