La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1670)
Datte: 06/02/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... aux dimensions extraordinaires. A l’évidence, on avait longuement travaillé son organe génital à s’ériger de manière quasiment démesurée. Antoine rythmait le mouvement, en tenant fermement ma nuque de ses deux mains et en poussant à intervalles réguliers ma tête contre son bas-ventre humide, chargé d’odeurs érotiques. Il râlait et ahanait à chacune de ses avancées. Quant à moi, je respirais à peine, laissant couler hors de ma bouche toute la salive que ma gorge pouvait contenir et que je ne pouvais avaler. Ma bave coulait à flots le long de mon menton, avant de tomber sur mes genoux et sur le sol.
- Oh oui… oh ma putain, que c’est bon… vas-y prends moi tout entier !, me disait-il…
Je ne savais pas ce qu’ils avaient fait à Antoine… Sa nouille bandée en un extrême volume, son sexe épais et long, de belle taille, hors du commun, chaud et dur m’écartait les lèvres, obstruait totalement ma bouche… Il essayait de s’enfoncer davantage encore, me bloquant la respiration, me donnant des nausées. Mon futur époux me pilonnait la gorge pour que mes lèvres viennent s’enrouler à la racine de sa nouille…
- Toi, au lieu de nous regarder baiser, prépare le cul de ma femelle, bouffe-lui sa petite chatte !, lançait Antoine à l’attention de juliensoumis sur un ton très directif…
Ce ton justement, me laissait à penser qu’il y avait quelque chose qui avait changé chez Antoine, son regard n’était plus le même, j’y trouvais de la dureté. Ça façon de s’exprimer était différente… Je ...
... n’étais plus son futur conjoint mais sa femelle… Ses pulsions sauvages me laissaient sans voix ! Il fallait coûte que coûte qu’il jouisse… Il me faisait maintenant lécher ses couilles, elles aussi devenues assez impressionnantes par leur volume et qui dégageaient de bonnes odeurs boisées. Je passais ma langue contre ces bourses gonflées, tièdes et salées, je les léchais et les caressais tant que je pouvais, y répandant ma salive affamée comme la preuve d’un amour imposé, alors que juliensoumis déflorait ma rondelle ! Je voyais ces couilles comme celles d’un taureau, à les voir se balancer sous leur poids toutes en grosseur. Puis je glissais la pointe de ma langue jusqu’à la base de sa nouille raidie. A l’instant de sentir le contact de sa peau, de nouvelles explosions de chaleur se répandant dans mon torse, et une ligne claire, dorée, venait s’épanouir dans mon esprit, parcourant le corps d’Antoine, m’indiquant oui, c’est par là, voilà la bonne direction à suivre !
J’appliquais à la lettre les recommandations de mon instinct de femelle en chaleur et je parcourais le tracé doré du bout de la langue, léchant cette nouille sombre, refermant mes lèvres autour de son gland, y goutant les prémices de liquide, avant de l’englober toute entière, de la sucer comme un spectre, comme un repas délicieux, la sucer pour lui donner mon amour, et recevoir en retour toute l’acceptation de ma nature d’être servile et aimant, d’être rampant et amoureux. La main d’Antoine épousait ma nuque et ...