La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1670)
Datte: 06/02/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1669) -
Chapitre 48 bis : Des retrouvailles surprenantes -
Mon envie d’aller plus loin, de frapper encore plus fort dans le cul de mon congénère, de cogner mes hanches contre son cul se faisait sentir ma grosse nouille durcie et inquisitrice … Je me déchainais tel un chien au combat, sans me soucier des gémissements de celui que je défonçais, sans me préoccuper du contexte, sans me tracasser du regard de cette perverse cuisinière qui pourtant nous regardait et nous imposait à copuler bestialement avec un sourire vicieux au bord de ses lèvres. L’atmosphère étouffante de la pièce, avec ces odeurs de sueur, de culs, de bites, ne faisait qu’augmenter mon excitation, malgré l’humiliation vécue. Je baisais, je comblais ce cul maintenant totalement dilaté, parce qu’il m’était simplement impossible de faire autrement, parce que je devais obéir, parce qu’il me fallait jouir et expédier mon foutre au fond de ce trou brulant. Je m’apprêtais à me libérer en lui, mais avant même que je puisse conclure, je sentis, un coup de cravache me claquer les couilles, me mettant hors d’usage. La douleur était telle qu’instinctivement je faisais un mouvement de repli et ainsi ma nouille s’échappait de ce cul, je m’effondrais au sol en gémissant effroyablement.
- Va salope, va te vider dans sa bouche de pute, espèce de chien !, m’ordonnait Madame Marie.
Cette sadique femme ...
... m’attrapait par les cheveux, me forçait à me relever. Je criai de douleur lorsque je sentais la tension sur mes racines. Je lâchais un ultime gémissement lorsque la bouche d’esclave Katia avalait ma nouille semi molle. Je fermais les yeux, savourant la pression de ces lèvres autour de mon gland ruisselant, ma hampe se redressait immédiatement, furieusement… Lorsque je rouvrais les paupières, j’apercevais juliensoumis qui avait pris place dans cet antre que j’avais soigneusement et méthodiquement dilaté. Lui aussi se déchainait et bourrait le cul servile de notre congénère, à chacun de ces coups de butoirs, esclave Katia, s’empalait la bouche un peu plus profondément sur ma nouille raidie jusqu’à ce que celle-ci aille cogner sa glotte. Je nous contemplais dans cette débauche obscène, les uns sur les autres, j’écoutais nos gémissements de chiennes en chaleur à chaque fois que la cravache de Madame Marie tombait sur nos peaux pour nous motiver plus encore. Je respirais, m’excitais de plus en plus, comme une matière chimique et instinctive, jusqu’à ce que mon esprit foute le camp. Il ne restait que l’être, celui qui est, qui agit et obéit, cet être là au bord de l’extase, cet être devenu salope et chienne, sans défense seulement emporté par l’océan de sensations qui me parcourait le corps. Je tremblais de tous mes membres, m’enfonçais encore et encore dans cette cavité buccale chaude et humide, comme assommé par un plaisir hors norme. Je me laissais sucer, mon gland frottait contre ...