1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1670)


    Datte: 06/02/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... l’arrière gorge d’esclave Katia. Il manquait de s’étouffer, mais je le sentais prêt à avaler tout ce qui allait venir. Alors, emporté par la baise, prenant sa bouche pour un vagin chaud, humide et accueillant, je grognais, soupirais, ma prostate explosait et libérait mon foutre épais et abondant, aspergeant cette bouche soumise en un flot continu. J’étais, nous étions, tous trois défaits…
    
    Nos nouilles de nouveau encagées, nous avancions à quatre pattes, côte à côte, péniblement derrière Monsieur Walter, tirant sur nos laisses respectives. Je savais où nous allions atterrir, lorsque nous dûmes descendre cet escalier étroit en colimaçon. Ce lieu était sombre avec une chaleur étouffante et moite. Ici ou là, de temps à autre, nous entendions un bruit de chaines, des gémissements ou des lamentations alors que nous parcourions ce long couloir distribuant la dizaine de cachots se trouvant de part et d’autre de ce passage étroit. Le Majordome ouvrait l’un d’eux, y faisait entrer esclave Katia et l’enfermait, puis il déverrouillait la cellule juste en face, celle que j’avais quitté avant d’aller rejoindre ce sombre trio, quelques heures plus tôt. Dans ce lieu puant la testostérone, je me retrouvais de nouveau prisonnier dans celle-ci avec juliensoumis à mes côtés, tous deux attachés par une longue chaine métallique. Lui et moi, sitôt la porte refermée, nous nous couchions à même le sol, l’un contre l’autre, nos corps recroquevillés en position fœtale, mon dos en appui contre son ...
    ... abdomen. Juliensoumis posait son bras sur mon corps, sa main caressante venait prendre appui sur mon ventre. Ce bras m’enveloppant, cette main chaude posée sur mon ventre me réconfortaient.
    
    A cet instant j’avais besoin de ça, d’un peu de tendresse, d’un peu de douceur. Je laissais cette main me cajoler, ces doigts glisser sur mon abdomen et remonter sur mes tétons encore terriblement douloureux suite aux tortures exercées sur eux par Madame Karaine quelques moments plus tôt. Le soupirail deux mètres au-dessus de nous ne laissait entrer qu’une faible lumière. Mes yeux avaient bien du mal à s’habituer à cette semi-obscurité. Pourtant, au bout d’un certain temps, il me semblait voir, tout près de mon visage un pied nu… Ce ne pouvait être celui de juliensoumis, compte tenu de notre position… Alors à qui appartenait-il ? Je me redressais quelque peu, pour distinguer contre le mur extérieur, l’ombre d’un corps, celui d’un autre esclave mâle, assis au fond de ce lieu exigu, les jambes repliées, la tête et ses bras posés sur ses genoux. Je ne bougeais pas, somnolais presque en restant ainsi lové entre les bras de juliensoumis… Mais soudainement ce pied à proximité de ma tête se posait sur mon visage. Alors sans comprendre, je me mettais à le lécher, comme ça, instinctivement, spontanément, machinalement, comme s’il était normal pour moi désormais de passer ma langue à chaque fois qu’une paire de pieds se trouvait devant ma bouche. Je réagissais pourtant lorsqu’une main douce et ...
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