La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1670)
Datte: 06/02/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... réconfortante, me caressait le crâne. Je levais les yeux, ma gorge se nouait, mon cœur frappait dans ma poitrine…
- Antoine !, chuchotais-je- Oui c’est moi Alex, je suis content de te retrouver, me répondait-il presque sèchement en ôtant son pied.
Je me redressais, tournais la tête vers lui et lui lançait un sourire en le dévisageant. Son sourire répondait au mien. Je le regardais, avide alors que la tension de nos corps s’installait, alors que le silence était devenu obstiné et pesant, alors que nos deux corps n’étaient qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. S’ils ne se touchaient pas encore, l’attraction réciproque qu’ils exerçaient s’imposait maintenant comme une évidence. Encouragé par mon regard, dont je ne pouvais plus cacher la concupiscence, Antoine approchait son visage du mien. Le temps suspendait son cours, et tous deux, restions figés, sans que ni l’un, ni l’autre ne se préoccupe de juliensoumis enfermé ici avec nous. Pendant de longues secondes, nous restions pétrifiés alors qu’une infime distance séparait nos deux bouches. Il n'y avait maintenant plus de doutes, elles allaient se rejoindre. Et le monde basculait… Le contact entre nos bouches m’envoyait une décharge électrique dans tout le corps. Je chavirais alors qu’Antoine laissait ses lèvres sur les miennes pendant quelques secondes sans esquisser le moindre mouvement. Puis soudainement, il ouvrait sa bouche et me forçait à ouvrir la mienne. Il y enfonçait sa langue et fouillait dans tous les ...
... recoins de ma cavité buccale. Sans ménagement, il se laissait brusquement aller à son instinct physique. Il me prenait la tête dans ses deux mains et m’écrasait contre lui, poussant de plus en plus loin son baiser. Puis soudainement, Antoine s’arrêtait, se levait, me laissant là à genoux devant lui, me laissant sous sa nouille en liberté, longue et épaisse, avec son gland rouge écarlate couronnant une hampe puissante traversée par une veine imposante que je voyais battre. Ses couilles semblaient emprisonnées dans la peau de ses bourses tendues par l’érection de sa nouille. Il prenait ma tête entre ses mains et la poussait sur son sexe pour me le faire avaler. Il n’y avait plus de préliminaire... mais une action débridée et guidée par le seul désir de l’un à l’autre...
- Suce ton mâle !, me dictait-il presque autoritairement.
J’étais surpris, vraiment surpris par le comportement d’Antoine, lui si doux, si affectueux habituellement, là, il était différent, il y avait quelque chose de plus fruste chez lui, de plus directif, il y avait de la rudesse dans ses mouvements et dans son comportement, avec une manifestation certaine dans sa nature bestiale. J’avais maintenant sa nouille dans la bouche, mon menton collé à ses couilles, j’avalais son membre, membre à l’odeur de pisse et de transpiration, peut-être même de sperme… Sa nouille s’aventurait de plus en plus loin au fond de ma bouche. Son épaisseur, sa longueur m’impressionnaient, je me sentais réellement possédé par ce sexe ...