1. Traduction périlleuse


    Datte: 04/02/2025, Catégories: fh, Collègues / Travail voiture, amour, Oral pénétratio, coupfoudr, occasion, Auteur: Aventurine, Source: Revebebe

    ... l’autre sous ma jupe et la remonte doucement le long de l’intérieur de mes cuisses. Je sens ses doigts effleurer le tissu de ma culotte, juste sur ma fente, et me rends compte de l’étendue de l’humidité qui a inondé mon sexe depuis quelques minutes. Nos respirations s’accélèrent, nos caresses se font plus hardies. Je regarde ses mains s’agripper à la table alors que je m’agenouille pour empoigner la colonne de chair rigide que mes doigts ont fait jaillir de son sous-vêtement avant d’y passer la langue, comme la gourmande que je suis, sans toutefois penser une seule seconde aux tablettes de chocolat rangées dans mon bureau et d’ordinaire très présentes dans mon esprit.
    
    J’oublie où nous nous trouvons et laisse ma langue prodiguer à François de voluptueuses caresses autour de son gland, ma main caressant ses testicules et la longueur de son membre. À la manière dont il renverse sa tête en arrière, je devine le plaisir que lui procure cette fellation improvisée. Il caresse mes cheveux entre deux soupirs et deux coups d’œil vers l’extérieur. Mes mains agrippent fermement ses hanches. J’accélère bientôt le rythme des va-et-vient de mes lèvres sur son sexe, car je sais que nous ne pourrons pas rester ainsi trop longtemps, enfermés dans cette pièce, exposés au risque d’être dérangés.
    
    — C’est tellement bon… Arrête, je vais jouir…
    
    Je n’arrête pas.
    
    — Attends, laisse-moi te caresser aussi…
    
    Je ne le laisse pas tellement l’envie est forte de le pousser au paroxysme de son ...
    ... plaisir, ici et maintenant, même si les pulsations croissantes de mon clitoris deviennent de plus en plus intenses et que j’ai envie de sentir son dard ailleurs que dans ma bouche. Ma langue tourmente son gland de plus en plus intensément, en fait le tour en des coups de langue savamment distillés qui lui arrachent de nouveaux soupirs. François ne tarde pas à céder à la jouissance, les mains toujours posées sur mes cheveux, en suivant le rythme de mes caresses buccales par de légères ondulations du bassin.
    
    Pantelant, François saisit doucement mes mains pour m’aider à me redresser et dépose quelques baisers dans mon cou.
    
    — J’ai envie de te goûter moi aussi, tu m’excites terriblement.
    — Non… Il faut sortir de là, maintenant, on va nous surprendre !
    
    Entre deux œillades enflammées, François se rhabille et je tente de remettre un peu d’ordre dans ma tenue et mes cheveux. Nous gardons le silence et je vois passer sur son visage l’ombre d’une inquiétude. Je sais à quoi il pense à ce moment précis. Il se dit qu’il a dérogé à une règle à laquelle il tenait dans le cadre du travail. Levant la tête incidemment, je reviens brutalement à la réalité en voyant passer une chevelure rousse juste devant le local. La porte s’ouvre brusquement sur Solange qui semble extrêmement contrariée.
    
    — Ah, François, tu es là ! Tu peux aller voir Magali, elle me saoule avec son logiciel qui n’arrête pas de planter.
    — Oui, j’y vais.
    — Vous êtes encore en pause, vous deux ?
    
    Puis, après avoir ...
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