Traduction périlleuse
Datte: 04/02/2025,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
voiture,
amour,
Oral
pénétratio,
coupfoudr,
occasion,
Auteur: Aventurine, Source: Revebebe
... au-dessus de moi, il glisse sa main libre dans son sous-vêtement et en fait jaillir son sexe, droit comme un i majuscule, police 36, au moins. Il prodigue à son membre quelques va-et-vient délicats et contemple mes seins sur lesquels perle une multitude de gouttelettes de sueur.
Il me nargue, là, il me fait languir. Est-ce un test pour me pousser à le supplier de me prendre sur-le-champ, ou plus exactement, sur la banquette ? Je sens mon sexe palpitant au bord de l’explosion et ne peux empêcher ma main de s’y poser pour continuer à me caresser. Cela plaît visiblement à mon petit pervers de collègue qui me reluque en souriant d’un air narquois. Il tend la main vers le siège passager et tire un sachet de la poche de sa veste. Dans une posture précaire, le dos courbé, il ressemble à l’un de ces contorsionnistes de cirque dont le corps apparaît désarticulé à travers les parois d’un gros cube en verre.
Petite parenthèse. Note aux concepteurs automobiles : si la hauteur des habitacles de vos plans reste inchangée, l’activité très répandue « Ébats torrides en voiture » risque prochainement de relever de l’exploit gymnique. La population grandit, c’est bien connu. Alors, un petit effort, par pitié. Fin de la parenthèse.
La petite voix du Moi responsable de mon appétit sexuel retentit alors dans mon esprit, elle me souffle à l’oreille ce que je crève d’envie de dire de vive voix à François, là, tout de suite :
« Tu vas me baiser maintenant, François !? J’ai bien vu ta ...
... belle queue que tu brandis fièrement juste sous mon nez, je te jure que si je la prends en bouche je vais bien la savourer et te faire languir moi aussi… Alors, prends-moi comme tu veux, ou plutôt comme tu peux dans ces circonstances. Reste sur moi et prends-moi sauvagement, quitte à me faire quelques bosses à la tête en me heurtant en rythme contre la portière. Ou laisse-moi te chevaucher et onduler librement sur toi pour bien sentir ton dard au creux de mes entrailles. »
Ma petite voix se fait ensuite plus rauque, plus véhémente. Quelle obsédée, celle-là !
« Je pourrais même te demander de me prendre sans ménagement sur le capot de ta voiture, le ventre transi par le froid de la carrosserie. Je n’ai cure de la crève que je choperai à coup sûr demain tellement j’ai envie de te sentir en moi. »
Pendant cette tirade intérieure, François habille son sexe de sa combinaison de latex sans se hâter le moins du monde. Ma petite voix cherche à prendre le contrôle sur ma main pour qu’elle accélère ses caresses sur ma fente trempée et me pousse à proférer les pires obscénités, mais je sais me tenir, tout de même, même à poil, vautrée sur la banquette arrière d’une voiture, en train de me masturber devant un homme.
Cela dit, j’ai en face de moi un informaticien extrêmement performant. Il est parvenu à pirater mon réseauWi-Fi en s’y connectant via mes prunelles. Une fois cette opération réussie, c’est un jeu d’enfant pour lui de lire les données sensibles qui viennent d’être ...