Amanda
Datte: 31/01/2025,
Catégories:
fh,
piscine,
voiture,
Oral
pénétratio,
fsodo,
portrait,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... mariés ?
— Oui, mais chacun de son côté. Elle c’est la femme du jardinier et son épouse à lui c’est votre femme de ménage, dans les bureaux.
— Oh oui… Une si jolie petite femme, je l’ai croisée à plusieurs reprises. J’en connais qui voudraient bien se la faire, mais qui n’ont jamais réussi…
— Ben, vous pourrez la sauter pour la venger en lui racontant ce que vous avez vu.
— Je ne suis pas comme ça.
— À tout à l’heure !
Je mets ma montre à biper et je me vautre tout habillé sur le lit. En regardant le plafond, je prends peu à peu conscience de ce qui m’arrive. Héritier de la boîte… Tu parles d’une charge ! Un honneur, certes, mais que de soucis ! À combien il peut émarger le gros ? Je sais que ça se décide en Conseil d’Administration, avec des actionnaires qui touchent aussi leur part. Plus il les soigne, plus il palpe. Quatre employés de maison avec les charges, c’est déjà plus de cent mille euros par an. Et vu la baraque et le train de vie, il doit toucher au moins quatre fois ça. Ouais, quatre à cinq cent mille par an, putain ! Et combien il va me donner comme adjoint ? S’il me donne la moitié, je passe de soixante mille à deux cent mille. Oh le pied ! Mais non, c’est pas possible. Il me file royalement cinq mille comme gratification, et je suis content. Restons raisonnables. Si ça se trouve, il investit tout dans le personnel et ne touche pas plus de deux cent mille. Moi je n’aurai pas de personnel, du moins, pas à plein temps, une femme de ménage de temps en ...
... temps peut-être… Et puis pas une pétasse coûteuse comme sa caille. Non, une petite femme gentille et intelligente qui me fera au moins deux jolis marmots, une vie simple en somme, sans les artifices de la Côte d’Azur, sans yacht ni chalet à Courchevel. Quoiqu’un petit nid sur la côte normande et un petit bateau de pêche… « Bip-bip, bip-bip ». Ah, c’est déjà l’heure du bain. Je pose tout et j’enfile l’un des peignoirs de la salle de bains. Descente en silence pieds nus, le cuisinier a terminé ses galipettes.
Je m’égare un peu : la porte d’entrée est bouclée, je finis par trouver une porte arrière. Heureusement que la lune est pleine. Aïe les gravillons ! Non seulement ça fait du bruit, mais ça fait mal. Crétin, il y avait une allée dallée à deux mètres. Me voilà à la piscine, seul comme un con. Lapin ? Non, un frou-frou derrière moi et un autre peignoir apparaît dans la lumière blafarde. Elle ouvre, on entre, elle pose son peignoir, silhouette pâle absolument divine. Une fée de roman. Elle plonge, ça résonne. Je pose le mien et je la suis. Elle ne sait pas grand-chose, mais nage diablement bien. C’est vrai qu’elle est taillée pour ça, longue et fuselée. On se rejoint, on se touche, on se tient. Elle se colle à moi, m’enlace, je nous maintiens à la surface pour deux. Elle me roule un patin magistral et son ventre chaud écrase mon pénis qui se prend d’un grand émoi. Elle se laisse couler et me prend dans sa bouche, turlutte en apnée. Elle va bien devoir respirer. Justement, elle ...