Amanda
Datte: 31/01/2025,
Catégories:
fh,
piscine,
voiture,
Oral
pénétratio,
fsodo,
portrait,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... oublier les gants de conduite et la grande écharpe blanche pour couvrir la tête à la Grace Kelly. Quand je me suis arrêté devant le perron, elle est venue à ma rencontre, déjà chaude comme une cocotte-minute sous pression.
— Oh Jérôme ! Vous avez changé de voiture. Elle est magnifique.
— Non, c’est la vôtre, dis-je en lui tendant les clés.
— Nonnnn…
Une gamine sous le sapin le jour de Noël ! Elle a battu des mains, sauté en l’air, fait le tour, touché, elle s’est couchée sur le capot en frétillant du popotin… Un cirque, mes aïeux ! Je ne pouvais que comparer avec la retenue de Mahoko, son humilité et ses courbettes respectueuses. Édouard a eu droit à une effusion de gros baisers qui l’a laissé maculé de rouge à lèvres, et il a fallu que j’ouvre moi-même le coffre pour qu’elle découvre mon cadeau. Nouvelles effusions, sa cuisse entre les miennes en me frottant bien l’entrejambe. On l’a laissée avec ses jouets, prétextant d’aller aux écrevisses. Assis sur le ponton, les pieds au-dessus de l’eau, je passe une à une les balances à Édouard qui les appâte en débitant une grosse pièce de bœuf. Je fais le point avec lui. La réaction des Japonais l’étonne, mais il me félicite d’avoir trouvé la perle qui doit nous permettre de sortir de cette impasse. Mais seul le dossier Saint-Gobain semble l’intéresser, il suit son cours. Mais je reviens sur le Japon.
— Édouard, il faut que je vous dise, au nom de notre amitié, et en toute confidence. Je crois que je suis amoureux…
— ...
... Quoi ? Mais c’est génial ! Ah, mon p’tit Jérôme, je ne pouvais pas souhaiter plus belle chose pour vous. Dites-moi tout.
— Ben cette fille, moitié japonaise… Je suis envoûté. J’aurais pu la renvoyer chez elle en attendant une réaction des Japonais, mais je l’ai gardée, aux frais de la société, j’en suis confus, je rembourserai…
— Ha-ha-ha ! Hors de question. On donne suffisamment, les employés ne s’en rendent pas compte. Mais on peut bien avoir quelques compensations, merde ! Embauchez-la en CDI s’il le faut…
— Oh, Édouard ! Je ne vous avais jamais entendu jurer de la sorte.
— Ah, plaise au ciel qu’elle soit aussi bien que vous l’espériez et que vous le méritiez. Vous auriez dû l’amener.
— J’y ai pensé, elle a refusé, dis-je en expliquant la raison.
— Bien, femme de principes, ça sent bon, ça. Foncez, mon jeune ami, foncez, et faites en sorte de conclure pour que je puisse être le témoin ravi de votre alliance. Tout à l’heure, quand nous boirons l’apéritif, mon regard vous dira que nous arrosons cela.
Il y eut l’apéritif, officiellement à la santé d’Amanda, officieusement à mes amours, un dîner somptueux durant lequel il devait se passer des choses en cuisine, car la soubrette était tout émoustillée en nous desservant. Puis mon patron est allé se coucher. Inévitablement, Amanda s’est aussitôt déchaînée. Il a fallu un premier tour sur le billard, un second sur le balcon de ma chambre. Ce fut sans enthousiasme, je pensais à Mahoko en lui ramonant le cul mécaniquement. Le ...