1. Des mots sur un rêve


    Datte: 24/01/2025, Catégories: fh, hh, fhh, couleurs, asie, inconnu, fsoumise, revede, noculotte, caresses, double, fdanus, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, aventure, occasion, Auteur: Meemyne, Source: Revebebe

    ... de tester cette pratique. Mais je n’en ai jamais parlé par peur d’un amateurisme maladroit. Je suis plutôt douillette, et refuse de m’offrir pieds et poings liés à un rustre, même bien déguisé.
    
    — Notre petite fée semble pour de bon plus libérée ! se réjouit Erik, en approchant un mochi de ma bouche.
    — Oui, sa gourmandise nous honore, réplique ironiquement mon nawashi, en me dévêtant, une corde déjà prête à entourer ma poitrine.
    
    J’observe avec attention chaque mouvement qui ajoute une ligne de corde sur ma peau réactive.
    
    Erik ne rate rien non plus des gestes mesurés de l’homme de l’art. Je frissonne lorsqu’une main me caresse avant de resserrer un croisement de liens. Étrange, il n’y a pour l’instant pas de nœud.
    
    Devinant ma pensée, Erik m’explique que l’art ancien du kinbaku bi se pratique sans aucun nœud, tout en m’aidant à me lever maintenant que mon buste et mes bras savamment encordés ne me permettent plus de bouger facilement.
    
    Orutai m’écarte les jambes et continue son tissage sur mes cuisses. Aucun doute ne subsiste sur mon excitation.
    
    Mes poignets sont reliés dans mon dos et deux brins de corde sont délicatement placés de part et d’autre du clitoris, sur les petites lèvres, puis entre mes fesses. Mes soupirs ont enflé au fur et à mesure du laçage, et je gémis lors de ce dernier placement de fibre.
    
    — Comme tu es belle, petite fée(au moment où un foulard de soie noire m’ôte la vue).
    
    Le souffle entrecoupé de gémissements sourds, je suis gentiment ...
    ... étendue sur le dos sur ce qui doit être le grand coussin, posé sur la table. Mes mains un instant déliées passent en dessous. Mes chevilles sont attachées aux coins, les talons sur l’arrête de la table, le coccyx au-delà du bord. Le lien qui m’ouvre tant les ombres que la chatte passe entre mes poignets.
    
    Je ne suis plus que désir brûlant. Tout mon corps aspire à des caresses que les cordes doucement tirées de-ci de-là ne rassasient pas. Je souffle et me tords autant que les liens me le permettent, les cordes m’infligent une tension qui augmente d’autant ma soif de plaisirs.
    
    Une bouche sur mon sein me fait tressaillir. Tandis qu’une langue avide s’empare de mon téton érigé, une main palpe l’autre avec autant d’envie. C’est bon.
    
    Mais j’ai envie de plus.
    
    Un courant d’air entre les jambes : on souffle sur les braises de mes envies. L’effet froid est saisissant, juste avant l’application exquise d’une langue chaude et habile.
    
    Je tressaute et gémis plus fort. La langue qui me caresse suavement étend mon désir liquide jusqu’à la porte des ombres, et la tension des cordes maintenant trempées est à son comble.
    
    La bouche gourmande abandonne mon sein pour dérouler des baisers le long de mon cou avant de s’emparer de mon souffle avec conviction. Un baiser possessif me transporte alors qu’un objet lisse s’immisce entre mes fesses et ouvre ma petite fleur dans un mouvement lent et pénétrant, jusqu’à la butée qui le cale dans mes entrailles. Un petit cri ponctue la fin de ...