Croisiére Corse - Épisode n°3
Datte: 23/07/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
bateau,
pénétratio,
amiamour,
Auteur: Tylodine, Source: Revebebe
... la pose sur la colline jumelle, que je caresse au même rythme, c’est doux, souple et ferme à la fois… et elle apprécie, la coquine !
Je tente un coup de langue léger, un téton… puis l’autre… la réaction est encourageante, ça frissonne !
Je tente de la main gauche une excursion vers le bas… la peau est douce, je rejoins la petite mare du nombril… hmm, mignon cet ombilic, sensible aussi ; le ventre joliment bombé bouge doucement, comme pour inciter ma main à continuer… toujours plus bas.
À vrai dire… cette lente descente ne fait pas réagir que Giulia… j’ai l’impression que tout le bas de mon corps est devenu sensible… mon vit, coincé entre le flanc de mon amante et mon ventre, me semble fait de bois et une sorte de crampe me tord l’entrejambe.
Je progresse, descente délicieuse, du dos de la main je frôle la proéminence du mont de Vénus, le bien-nommé, couronné d’une petite crête de poils frisottés… c’est fin et soyeux ; je ne peux me retenir d’y frotter ma joue, de souffler doucement sur ce buisson d’amour.
Giulia gémit doucement et remonte les genoux, m’obligeant à changer de position, je rampe sur les coussins et me retrouve agenouillé entre ses jambes.
La vue est imprenable… oserais-je parler d’enfilade ?
Tout ce que je vois est un appel aux caresses, ces petites cuvettes de chair tendre au creux des cuisses, celle de droite, celle de gauche, plutôt ?
J’y mettrais bien la langue… d’ailleurs je l’y mets, j’y promène mes lèvres, je lèche…
Giulia ...
... glousse :
— Ououh… tu me chatouilles avec ta barbe !
Je change de côté, donnant au passage, un petit coup de langue sur la colline charnue qui sourit verticalement, au milieu… Giulia fait un petit bond… non, mon cœur, pas si vite… à droite maintenant.
La peau est douce, douce, mes lèvres glissent, glissent… mon nez, lui, se promène sur d’autres lèvres, humant sans retenue le parfum suave qui en émane, grisant.
Giulia gémit maintenant sans retenue pousse son bassin en avant, elle en voudrait plus, moi aussi, mais c’est si bon ce jeu d’attente, ce prélude un peu frustrant.
Nos ébats de ce matin ont un peu apaisé nos tensions accumulées, et j’ai envie de faire durer le plaisir aussi longtemps que nous pourrons tenir…
Je tente une remontée stratégique, poursuis mes caresses buccales un peu plus haut, sur le ventre bombé, je titille de la langue le nombril délicat, remonte entre les seins tendus, embrasse la gorge palpitante, les lèvres humides.
Nos dents s’entrechoquent tandis que nos langues se cherchent, se trouvent, se caressent encore et encore.
Mais nous ne maîtrisons plus grand-chose, nos sexes avides sont désormais en contact et nous entraînent toujours malgré nous.
Je sens mon vit glisser entre les lèvres brûlantes d’où suinte maintenant une liqueur onctueuse, odorante.
— Doucement, Giulia, doucement, pensé-je, pas encore, sens comme je suis dur, sens cette tension qui monte, qui nous dévore…
Mais Giulia n’entend plus rien, elle râle, et, ...