Croisiére Corse - Épisode n°3
Datte: 23/07/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
bateau,
pénétratio,
amiamour,
Auteur: Tylodine, Source: Revebebe
... portée des « terriens » ordinaires.
La journée a été chargée et, vautrés sur le pont, nous laissons nos corps fatigués absorber les rayons du soleil, qui est dans sa course ascendante.
Je ne peux m’empêcher d’admirer Giulia qui récupère, allongée sur le ventre. De sa chevelure noire encore mouillée sourd un petit ruisseau qui s’écoule le long de son épine dorsale, forme deux petites mares dans les fossettes au bas de son dos et finit entre ses fesses rondes.
Comment résister à un pareil tableau !
Je ne puis m’empêcher de suivre du bout de mes doigts ce filet tentateur, frôlant la peau bronzée, de la base du cou où un fin duvet, à peine visible, forme une pointe qui s’étire vers le bas, à ces petites fossettes qui semblent un appel à la caresse.
Je sens comme une onde, un frisson naître sur sa peau lorsque, j’entame la descente dans la vallée fessière, (Apollinaire aurait dit culière !) titillant au passage la petite rosette qui se rétracte, comme indignée…
— Mais Monsieur !
Poursuivant mon canyoning coquin, je continue la descente à la verticale, où sommeille, caché, mais si peu, qu’on croirait en fait le but d’une chasse au trésor… et quel trésor !
Dodu, à peine voilé d’un léger duvet, ourlé d’un méridien au relief troublant qui frémit et semble vouloir s’entrouvrir à mon contact… un abricot, que de sinistres médicastres voudraient affubler du triste nom de vulve !
À croire qu’ils n’en ont vu que sur des gravures anatomiques.
Foufoune, chatte, ...
... chattoune, je veux bien, c’est gentillet, affectueux, mais ce fruit doré qui s’épanouit sous la caresse, non, vraiment, rien n’est plus approprié qu’abricot !
D’ailleurs je sens que celui-là s’anime, comme flatté qu’on l’admire, il s’entrouvre doucement sous mes doigts, dévoilant sa chair nacrée, tandis qu’apparaissent de petites lèvres délicates, encore… ou déjà, humides d’une rosée qui en rehausse la carnation.
Manifestement, mon exploration ne laisse pas Giulia indifférente… il me semble entendre comme un ronronnement, tandis que son joli postérieur s’élève, les cuisses en appui sur les coussins du pont, situation instable s’il en est…
— Hé, dis donc… je croyais qu’on ne devait pas faire d’effort après une plongée ?
— Quel effort ? Résister à la tentation serait un effort… et surhumain en plus !
— Mmm, je vois… mais c’est bon ce que tu me fais… si tu continuais par le côté pile, là, je fatigue un peu !
D‘un seul mouvement la voilà sur le dos, jambes à demi-ouvertes… cette fois-ci, le ruisselet se faufile entre ses seins, vient former une petite mare dans le nombril puis se divise en deux de chaque côté du bassin et s’écoule au creux des cuisses… puis… puis… là, je commence à perdre le fil de mes idées !
Agenouillé près d’elle, je ne sais plus où donner du regard, j’avance une main et saisis un sein, entourant la base de ce mont conique, je remonte doucement, effleurant à peine la petite truffe durcie qui le couronne.
Giulia se saisit de mon autre main et ...