1. Croisiére Corse - Épisode n°3


    Datte: 23/07/2019, Catégories: fh, hplusag, bateau, pénétratio, amiamour, Auteur: Tylodine, Source: Revebebe

    ... glissant une main entre nos deux corps empoigne sans douceur ma queue tendue et la glisse en elle avec un soupir de satisfaction.
    
    — Ça suffit, maintenant, viens, baise-moi, baise-moi fort, saute-moi, fais-moi jouir… mon missionnaire barbu !
    
    Bon sang ! Je crois rêver… même dans son délire érotique, Giulia trouve le moyen de glisser de l’humour ; quelle fille, quelle femme…
    
    Je rentre en elle, elle me reçoit, m’aspire, me laisse repartir pour m’engloutir de plus belle, m’enserre de ses cuisses, je la pourfends de mon épieu, nos bouches se dévorent, nous ne sommes plus que deux corps déchaînés.
    
    Lorsque vient le moment où la tension atteint son paroxysme, je tente de ralentir le rythme, de prolonger ce qui est devenu tellement intense que c’en est presque une souffrance.
    
    Giulia se contracte et me plante ses ongles dans le dos, ses jambes sont devenues des lianes qui me broient.
    
    — Maintenant, maintenant, viens, viens, oh, oh !
    
    Je me laisse enfin aller, libérant en même temps que ma semence, la tension accumulée, Giulia, sous moi, suit les saccades qui font pulser mon vit, contactant son vagin avec une force insoupçonnée.
    
    Je sens de nouveau chez elle, ces petites contractions rapides, presque des vibrations qui semblent annonciatrices de sa jouissance.
    
    Encore et encore, nous nous laissons emporter dans les vagues du plaisir
    
    Longtemps, nous restons l’un dans l’autre, serrés à s’en faire mal, retardant l’instant de la séparation, nous ne sommes plus ...
    ... qu’un… le monde réel s’est estompé autour de nous.
    
    Tandis que nos battements de cœur reprennent un rythme plus raisonnable ; comme pour nous cacher, le soleil rejoint l’horizon et le ciel vire au bleu foncé…
    
    Nous nous séparons à regret, nos corps luisants brillent dans les dernières lueurs du jour qui s’en va…
    
    Je prends Giulia par la main et nous nous laissons glisser dans l’eau fraîche. La mer nous accueille, nous lave et nous calme…
    
    Quelques brasses silencieuses autour du bateau, un long baiser salé, corps contre corps et nous regagnons le bord, apaisés.
    
    Séchés, (un peu) rhabillés, nous regardons clignoter les étoiles… la mer est toujours immobile, au loin, vers Calvi, le phare de la Revellata s’est allumé.
    
    Giulia s’est faite plus lourde contre mon épaule, je contemple, ému, son visage détendu, ses paupières aux longs cils sont closes… elle dort.
    
    Je l’installe doucement sur la banquette, m’allonge à ses côtés, nous couvrant d’un plaid pris dans le carré…
    
    Tout est calme, le maquis embaume, la mer clapote doucement contre la coque…
    
    Bonne nuit…
    
    …..
    
    Bonjour !
    
    — Debout là-dedans, branle-bas de combat, aux postes appareillage !
    — Hé, ho ! Qu’est-ce qui se passe ?
    
    Le jour est en train de se lever et avec lui, une fraîche brise de nord-ouest qui rapproche dangereusement le « Ponant » de la côte. Il faut rapidement remonter le mouillage et reprendre la route…
    
    Je mets en route les deux moteurs tandis que Giulia, aussi à l’aise sur le pont que ...
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