Ma première pose (deuxième session)
Datte: 17/01/2025,
Catégories:
A dormir debout,
Auteur: Caroline de Savoie, Source: Hds
... violacée de ma bouche, et laisser échapper avec un râle de jouissance qu’il ne chercha même pas à étouffer des jets épais et écœurants de son vieux sperme qui jaillirent partout sur mon visage et mes cheveux, me rendant momentanément à moitié aveugle d’un œil.
Tandis qu’il essuyait, sans aucune gêne, son sexe redevenu flasque dans les cheveux qu’il tenait encore et que David achevait son petit film, il ajouta l’air à la fois professoral et pervers : « Finalement, cette fois-ci, nous allons peut-être réussir ton éducation ! »
L’assistance dès lors n’hésita pas à commenter grassement ma prestation, « bonne salope », « quelle pute », « ses parents seraient fiers d’elle » …
Bien sûr, pendant le temps restant, cette « pose » fu répétée de nombreuses fois, avec les participants qui « voulaient bien se dévouer pour la séance » comme le disait David, certains au fil de leur fantaisie se laissant aller dans ma bouche ou sur moi (principalement mon visage), souvent en immortalisant l’instant sur leur portable.
Quand ils eurent fini, et alors qu’ils sortaient de la salle je restais la, immobile, choquée, couverte de sperme sur la petite estrade, toujours à 4 pattes. David s’approcha alors, et en me fourrant à son tour son sexe en bouche et en remuant vigoureusement, me dit d‘une voix neutre : « j’ai oublié de te dire Caroline, chaque participant télécharge sur notre espace les clichés et films souvenir. Mais rassures toi, les règles u club te protègent ». J’attendis la ...
... suite mi inquiète mi rassurée. Il continua ses vas et vient en silence un moment, puis souriant bizarrement il termina : « Tant que tu es modèle pour nous, ces images restent privées, mais bien sur nous réalisons en revanche de très larges expositions si tu n’es plus couverte par notre collaboration ».
Et tandis qu’il jouissait à son tour au fon de ma gorge, je compris très clairement la menace proférée « j’avais intérêt à revenir ».
Une fois retiré, et pendant que je me relevais enfin, il alla ramasser ma robe roulée en boule ans un coin de la salle, et me la jeta. « Allons dépêche-toi je dois fermer la salle, tu as deux minutes ! » Paniquée j’enfilais et fermais ma robe le plus vite que je pus et réalisais que je ne disposais de rien pour essuyer les souillures qui maculaient mon visage et les cheveux. L’utilisation de ma robe, hélas légère et noire étant exclus, sous peine de provoquer des traces infamantes. Devant son air amusé alors qu’il regardait sa montre en m’indiquant « une minute et tu sors ! » je me résolus avec horreur à la seule solution que j’entrevoyais : je ramassais le maximum de sperme en passant frénétiquement mes doigts sur mon visage et dans mes cheveux poisseux et les nettoyais en les suçant, le tout bien sûr sous la camera implacable du téléphone de David hilare.
Et c’est ainsi, à peine nettoyée, mais encore pleine ‘effluves e spermes, qu’il me poussa dehors à la seconde même ou les eux minutes furent écoulées. Et répondant en baissant les yeux a ...