1. Ma première pose (deuxième session)


    Datte: 17/01/2025, Catégories: A dormir debout, Auteur: Caroline de Savoie, Source: Hds

    J’avais repensé intensément tous les jours à ma première séance. Ce jour ou après avoir enfin osé contacter le club de dessin je m’étais retrouvée à poser nue devant tous ces hommes, pendant plus de deux heures, exposant progressivement toute mon anatomie à leurs yeux avides. La prise de photo finale m’avait beaucoup troublée et à la fois effrayée et excitée.
    
    Le mercredi matin dès le réveil je ne pensais plus qu’à ça. Je travaillais le midi mais fut de retour a la maison vers 15H30. Dès mon retour à la maison je respectai les consignes le cœur battant et retirai mes dessous pour « éviter les marques », comme ils me l’avaient précisé. Me regardant dans le miroir je vis les marques du string et du soutien-gorge. Me mordant les lèvres j’espérais très fort que ça disparaitrait avant la séance, pour ne pas avoir de remarques désagréables ou e moqueries.
    
    Je me sentis étrange, à vaquer à mes occupations en attendant la fin d’après-midi en étant ainsi nue sous ma robe légère. Une sensation inhabituelle mais pas désagréable, au contraire, qui me rappelais à chaque instant que j’aurais ce soir encore à me dévêtir devant tout le groupe de dessinateurs. L’excitation mêlée d’angoisse faisait régulièrement pointer mes seins, ce qui se voyait sous ma robe. Je m’en aperçu au regard que mon père me lança en détournant aussitôt les yeux. Heureusement il ne fit aucune remarque, devant penser que vu la chaleur, j’avais « allégé ma tenue ».
    
    L’après-midi passa assez vite, dans cet ...
    ... état second. Je pensais sans cesse aux derniers mots prononcés par David : « nous attaquerons les poses érotiques » … me demandant en quoi cela pouvait bien consister. Je trouvais moi qu’ils avaient déjà bien regardé mon intimité sous toutes les coutures et de façon pas mal érotique. Bien sûr, il m’avait demandé de venir avec des talons plus haut, ça devait être ça, j’allais poser en escarpins.
    
    Un peu avant 19 heures je passais d’ailleurs les chaussures que j’avais choisie, et qui devait répondre à la demande. Des escarpins noirs fermés, assez simples, mais qui possédaient les plus hauts talons que j’ai dans ma garde-robe. Avec ces échasses de 12 centimètres, je ne risquais pas de courir ! Mais il est vrai que cela me faisait un beau galbe des mollets et m’obligeait à me tenir naturellement cambrée en permanence.
    
    La salle municipale étant assez peu éloignée de chez nous, je m’y rendis à pied, cette fois-ci aussi, en partant 15 minutes avant. En sortant, je prétendis aller boire un verre avec des amies et je précisais que je ne rentrerais pas très tard. Ma mère me souris d’un regard entendu (elle devait se dire que j’allais voir un copain vu ma tenue un peu sexy) et mon père en me souhaitant bonne soirée posa à nouveau son regard sur mes seins pointés à travers ma robe.
    
    Pendant tout le trajet, qui ne dura qu’un quart d’heure, j’eu l’impression qu’il était écrit sur mon front que je ne portais aucun dessous. Sensation étrange ou j’interprétais toujours les regards des ...
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