Ma première pose (deuxième session)
Datte: 17/01/2025,
Catégories:
A dormir debout,
Auteur: Caroline de Savoie, Source: Hds
... et tout me revins soudainement « Henry Dupin, professeur de français, avec qui j’avais toujours eu des notes nulles et que j’avais régulièrement moqué avec des camarades, à cause de son physique ingrat ». Il n’avait pas embelli avec l’âge. Déjà rond et chauve à l’époque il était maintenant repoussant. Un gros ventre, des jambes courtes, une barbe rousse aussi fournie que son crane était dégarni, et un sourire répugnant tandis qu’il s’approchait à travers les pupitres. Son air réjouis et satisfait me donnait déjà la nausée. Je me répétais « ça n’est pas possible pas lui, il ne va pas oser, en plus il a au moins 65 ans maintenant ». Mais c’était bien Mr Dupin qui était là et qui a peine arrivée devant moi déballa un sexe encore demi mou mais déjà de taille impressionnante. Il était monté comme un âne !
Il me regarda bien dans les yeux d’un air de défi satisfait et m’intima tout haut, « allons tu savais être bavarde à l’époque, ouvre donc la bouche même si cette fois si tu parleras moins ! ». Ce qui déclencha une nouvelle fois les rires e l’assistance
Subjuguée, j’écartais les mâchoires et je sentis son gros gland passer entre mes lèvres. Il resta un moment ainsi, puis prenant ma tête entre ses mains grasses il poussa lentement son sexe dans ma bouche, presque jusqu’à m’étouffer. J’en avais les larmes aux yeux. Il fit quelques vas et vient, toujours lents, puis s’installa enfin à mi-course et lança fièrement à la cantonade. « Voilà, vous pouvez continuer vos œuvres ». ...
... J’entendis les crayons recommencer à gratter le papier ainsi que des murmures approbateurs « jolie vue », « elle ouvre bien », « bonne suceuse on dirait » … qui cherchaient de moins en moins à dissimuler leurs propos.
J’essayais de garder la pose (pas le choix) même si mes mâchoires distendues me faisaient souffrir, me demandant déjà si ce gros porc lui aussi craquerait rapidement dans ma bouche. Mais non, il resta la raide, à demi enfoncé en moi, à faire des commentaires à l’assistance, racontant ma vie du lycée et expliquant la piètre élève que j’étais à son cours. Le tout ponctué de remarque de son collègue présent et de mes deux ex-camarades de lycée ainsi que des questions de l’assistance, avide de tout savoir et de m’humilier.
A un moment, David lui demanda s’il souhaitait un souvenir de cette scène, et j’entendis ce gros porc tout rouge indiquer que « au contraire, je serai ravi de conserver un souvenir ». « Allons souris un peu » m’intima aussitôt David. Et tournant lentement autour de moi en tenant le téléphone que Mr Dupin lui avait tendu avec empressement, il immortalisa sur un petit fils ma suprême humiliation. Alors que David terminait son tour, et finissait le film sur un gros plan e mon visage, Mr Dupin en profita pour empoigner mes cheveux par ma queue de cheval s’enfoncer complètement au fond de ma gorge et tandis que l’avais le cœur au bord des lèvres, faire sans vergogne des vas et vient puissants. Au bout de deux minutes, il retira enfin sa queue ...