Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 23/07/2019,
Catégories:
fh,
ff,
frousses,
fgode,
pénétratio,
Auteur: Nicolas, Source: Revebebe
... imperceptible mais réel, qu’il ne put se l’expliquer clairement.
Vers 19 h il passa à la pharmacie et profita de ce que Mireille était seule pour l’embrasser. Ils décidèrent qu’il irait chercher quelques affaires chez lui et reviendrait passer la soirée, et la nuit bien sûr, ajouta Mireille, chez elle.
Pierre ayant ramené de son séjour dans le Rhône quelques spécialités lyonnaises, ils en firent leur repas. La conversation finit par venir sur ce qui était arrivé à Aline la veille au soir. Mireille raconta la soirée sans omettre aucun détail. Installés dans le canapé l’un contre l’autre elle put vérifier à plusieurs reprises que le récit de ses amours avait un effet pour le moins très positif sur son amant.
— Mais, dis-moi tu bandes comme un cerf, toi. C’est ce que je te raconte qui te met dans cet état-là ?
— Mets-toi à ma place, tu dévergondes mon assistante, tu me racontes vos frasques, et tu voudrais que je reste de marbre ?
— Oui. Tu ne vas tout de même pas imaginer que je vais t’en faire profiter dit-elle avec son air « couvent des oiseaux » ?
— Pourquoi pas ?
— Vicieux, salaud, cochon, t’es gonflé, toi alors ! Tu t’en vas draguer au loin, tu m’abandonnes trois jours et dès que tu rentres…
Elle ne put aller plus loin dans son imitation de femme bafouée. Un fou rire la saisit, elle tomba dans les bras de son amant et l’embrassa. Ce faisant elle avait empoigné l’excroissance qui déformait la braguette de Pierre.
— Écoute ce à quoi j’ai pensé. Elle a ...
... besoin de tendresse et d’amour et est encore trop fragile pour pouvoir se lancer seule sans qu’on la prépare un peu. Je lui ai dit de me raconter comment elle allait se faire l’amour tous les jours. Cela me permettra de comprendre ses fantasmes. On en trouvera bien un à mettre en scène. Tu auras le beau rôle, celui d’être à nouveau son premier homme. En attendant j’ai envie de toi. Tout de suite. Viole-moi là, maintenant, sans attendre ou je fais un malheur.
Il connaissait bien ce petit jeu auquel ils s’adonnaient parfois dans les endroits les plus variés en fonction de leurs envies et fantasmes du moment. C’est comme cela qu’ils avaient fait l’amour dans des toilettes de restaurant ou de cinéma, sur le bord d’une route, dans leur voiture ou en pleine nature, dans un parking à Paris, ou encore dans les ascenseurs panoramiques d’un hôtel parisien proche du périphérique, à 3 heures du matin.
Il la fit mettre à genoux sur le canapé, épaules contre le dossier, releva sa jupe, et sans lui ôter sa culotte la pénétra sans autre forme de préliminaires. Elle feula de bonheur à cette intrusion virile, grandement facilitée par l’état d’excitation dans laquelle l’avait mise l’histoire qu’elle venait de raconter. La culotte large, celle des courants d’air, se déplaça sans faire d’histoire.
— Vas-y, baise-moi vite et fort, courant d’air bien-aimé souffla-t-elle, la voix rauque de désir. Ne t’occupe pas de moi, je jouis déjà. Baise-moi et coule en moi, je veux te sentir.
Peu ...