Duel de voisines
Datte: 15/01/2025,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
voisins,
gros(ses),
Oral
pénétratio,
diffage,
Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe
... mes explications avant de conclure :
— Vous vous rendez compte, j’ai le même âge que votre grand-mère… Comment avez-vous pu croire une seule seconde !
J’avais pourtant l’impression que c’était plus elle que moi qu’elle cherchait à cet instant à sermonner. Comment avait-elle pu s’abandonner, ne serait-ce que quelques secondes à ce jeu de langue ? Elle me donnait l’impression de vouloir se fustiger.
— En tout cas, j’espère que nous en resterons là et que n’aurons plus à en reparler, supplia-t-elle comme un vœu pieu.
Je ne sais trop si cela avait définitivement cassé l’ambiance, mais une demi-heure plus tard, elle me donna congé en prétextant une grande fatigue. Entre-temps, elle avait eu le temps de m’interroger en long et en large sur mes fréquentations. Elle était en particulier très inquiète sur le fait que je n’avais pas de petite amie. Selon elle, cela devait me monter à la tête et pouvait, dans une certaine mesure, expliquer mon geste de tout à l’heure. En tout cas, elle me mit bien en garde sur le fait de fréquenter notre voisine commune.
— Vous vous rendez-compte, la grosse, elle a été serveuse presque dix ans dans un bistrot…
Pour elle, forcément une fille de mauvaise vie, car elle enchaîna :
— En plus, il paraît parfois que ces femmes-là ne se contentent pas de servir les clients…
J’eus beau essayer de la contredire en lui expliquant que Rosalie n’avait pas été serveuse mais plutôt cuisinière dans une sandwicherie, mais c’était pour elle du ...
... pareil au même, une femme à ne surtout pas fréquenter.
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Je ne sais si Rosalie avait passé toute sa soirée à écouter aux portes mais dès le lendemain elle attaqua, alors que je la croisais dans l’escalier :
— Alors, vous avez bien mangé chez la vieille ? Elle avait mis ses petits plats dans les grands. Vous avez vu comme elle était attifée ? Bah, ce n’est plus de son âge de faire la belle.
Elle devait être derrière sa porte, l’œil rivé à son œilleton, et nous surveiller, fumante de jalousie envers sa rivale.
— Moi ce que je vous en dis c’est pour votre bien, elle n’arrête pas de persifler sur tout le monde. Je suis sûre que vous en prenez, vous aussi, pour votre grade, dès que vous avez le dos tourné.
Puis, changeant de sujet.
— Le week-end dernier, je suis allé chez mon beau-frère qui m’a donné deux beaux lapins. Ça vous dirait de venir les partager avec moi ?
— Oh ce serait plutôt à moi de vous inviter !
— Allons, ne faites donc pas tant de manières. En plus si je ne les mange pas ils vont finir par se perdre.
— D’accord mais, dans ce cas, faisons ça chez moi.
Je me rappelais encore la fois précédente où je m’étais caillé toute la soirée. Au moins, dans ma piaule, le chauffage fonctionnait. Nous décidâmes d’un rencard pour le soir même, elle préparerait le plat durant la journée et se pointerait avec sur les coups de vingt heures.
— À la bonne franquette, ajouta-t-elle. Et sans chichi ! Ça vous changera un peu de la vieille ...