Duel de voisines
Datte: 15/01/2025,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
voisins,
gros(ses),
Oral
pénétratio,
diffage,
Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe
... bique.
Deux repas coup sur coup, j’allais prendre du poids.
Le soir venu, lorsque j’ouvris la porte et je faillis tomber à la renverse car je ne m’attendais certainement pas à ça. La grosse femme était outrageusement maquillée, pomponnée et parée de ses meilleurs atours. Elle était passée chez le coiffeur, ce qui la changeait de ses cheveux bien gras. Quant à sa robe, c’était très certainement la plus belle de sa garde-robe, mais cela devait faire pas mal de temps qu’elle ne l’avait pas mise, car elle faisait vraiment boudinée dedans. Ça la rendait quelque peu grotesque mais je préférai pour ma part ne garder que le côté positif en m’extasiant sur cette femme qui avait fait tout son possible pour être la plus belle du monde.
Mais le naturel revint bien vite au galop :
— Vous voyez que, moi aussi, je peux être aussi présentable que la vieille peau.
Vraiment, elles se détestaient !
Son décolleté profond était vertigineux. Entre ses seins lourds et mous qu’un soutien-gorge XXL avait du mal à domestiquer, je perdis mon regard dans cette gorge profonde. Mais elle me rappela bientôt à l’ordre :
— Allons, Bertrand, un peu de tenue, sinon vous allez croire que je ne suis qu’une allumeuse et une catin comme dit l’autre.
Le lapin était succulent, le vin tout autant, et mon regard revenait de plus en plus souvent entre les globes de ma généreuse convive et je crois bien qu’elle s’en amusait.
— Ah, Bertrand, ces jeux-là ne sont plus de mon âge et je ne suis ...
... plus bien ragoûtante, ajouta-t-elle en me taquinant.
Mais quand elle se leva pour porter le plat à la cuisine et qu’elle fit mine de trébucher, je me portai immédiatement à son secours, en en profitant sournoisement pour porter une main sur ses nichons. L’instant d’après, je les pétrissais à pleine pogne avant de les faire gicler l’un après l’autre de leur demeure. Rosalie, vaguement éméchée, se mit alors à glousser tandis que je la tétais.
Mais ses rires semblaient quelque peu forcés par la nervosité car elle ne semblait pas si bien que ça dans la peau de la femme qui se donne. D’ailleurs, n’en pouvant plus, elle se dégagea d’un mouvement d’humeur et recula prestement vers la porte tout en se rhabillant. Puis elle sortit sans ajouter un mot et j’entendis sa porte claquer dans le couloir. L’avais-je vraiment froissée, je regrettais déjà mon attitude un peu brutale… mais c’était sa faute aussi, c’est elle qui avait voulu m’aguicher jusqu’à l’insupportable. Et ce soir-là, j’eus beau aller frapper à sa porte pour essayer de m’excuser, elle ne répondit pas…
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Le lendemain alors que je partais au boulot, je croisai Maryse sur le trottoir, et la vieille femme put déverser alors tout son fiel :
— Alors, le torchon brûle ? La grosse catin vous a sorti le grand jeu ? Vous avez dû la trouver ridicule ! Quand je vous disais qu’elle est incroyablement vulgaire !
Mais j’ai passé mon chemin en préférant ne pas répondre.
Désormais, Rosalie me faisait la ...