1. Duel de voisines


    Datte: 15/01/2025, Catégories: fh, fplusag, fagée, voisins, gros(ses), Oral pénétratio, diffage, Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe

    Après m’être séparé de ma dernière concubine, je m’étais retrouvé dans un petit F2 minable d’un vieil immeuble parisien. Cinquième étage sans ascenseur, mansardé, juste en dessous des toits, appartement glacé, électricité vétuste et sanitaires plus que spartiates. Je partageais mon palier avec deux vieilles femmes dont je ne tardai pas à faire la connaissance.
    
    Au fond du couloir, il y avait Maryse, une veuve bien conservée qui venait de fêter ses soixante-dix ans. Encore alerte et pleine de vie, elle possédait un humour assez décapant, parfois même plutôt acerbe. Pourtant, la vie ne l’avait pas épargnée. Seule et sans enfants, elle vivotait grâce à une maigre retraite et arrondissait ses fins de mois en faisant quelques travaux de couture.
    
    Quant à la porte à gauche, c’était l’antre de Rosalie, une grosse bonne femme, charnue et bedonnante, retraitée également, qui devait avoisiner la soixantaine à l’époque. Cela me faisait toujours un peu de peine lorsque je la voyais gravir péniblement les escaliers. Elle soufflait comme un bœuf, faisait une pause à chaque palier et arrivait généralement tout en haut le visage rouge et en sueur. À chaque fois que je le pouvais, je me proposais pour lui porter son pack d’eau ou son panier. En général, elle refusait et je devais lui faire violence pour lui imposer mon aide. Cent, cent dix, peut-être même cent vingt kilos, je n’en savais trop rien mais elle semblait parfois proche de la crise cardiaque.
    
    Elle ne tarda pas à m’inviter ...
    ... chez elle pour se confondre en remerciements. C’était vraiment une gentille femme, assez timide, plutôt sauvage. Elle vivait seule et sans ami dans un appartement encore plus insalubre que ne l’était le mien. Le bas des murs était rongé par l’humidité et l’exposition au nord rendait le lieu encore plus glacé. Elle non plus n’avait pas de famille, elle aussi était sans attache. Depuis que son entreprise s’était débarrassée d’elle prématurément, elle se morfondait dans ses trente mètres carrés, ayant à peine de quoi payer toutes ses factures.
    
    Les deux femmes se connaissaient, se respectaient mais je compris bientôt qu’elles ne s’appréciaient guère. Maryse avait sans doute plus d’éducation et était plus guindée et plus snob, plus intellectuelle également. Elle considérait un peu Rosalie comme une grosse vache qui se laissait aller. Celle-ci, de son côté, trouvait la vieille femme hautaine et prétentieuse. Plutôt que de se fréquenter et de partager leurs solitudes, elles préféraient s’ignorer et se retrancher derrière quelques formules de politesse pour garder leurs distances. Curieusement, elles m’avaient pris l’une et l’autre à la bonne et m’invitaient tour à tour à boire un café ou à partager une tasse de thé.
    
    À l’approche de l’hiver, leur concurrence monta soudain d’un échelon quand Rosalie me proposa un soir de venir dîner pour me remercier de lui avoir un jour réparé sa chasse d’eau ainsi qu’une fuite qu’il y avait sous son évier. Chez elle, encore plus que chez moi, ...
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