Naïade
Datte: 11/01/2025,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
plage,
piscine,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... de ménage met fin à nos ébats, on lui dit qu’on garde la chambre pour une nuit encore. Nous allons sur la côte en passant chez moi pour me raser. Elle accepte que je nous achète une pizza et quelques fruits que nous dégustons dans un petit bois de pins au sommet d’une falaise, près d’un sentier de douaniers. Siestant au soleil, j’en profite pour interroger Alexia.
— Je sais bien que nous avons quelques années et quelques diplômes d’écart, mais j’ai trouvé que tu étais vachement calée dans les arts de l’amour. Tu as eu un passé tumultueux, sans être indiscret ?
— Ha ha ! D’abord, tu es très indiscret. Tu devrais profiter sans te poser de questions. Mais bon, si tu tiens à le savoir, j’ai suivi une formation très poussée dans ce domaine, ce qui explique plein de choses.
— Excuse-moi, je ne voulais pas te froisser.
— Non, c’est pas ça, plutôt que ça remue des souvenirs… disons désagréables. Je t’ai dit que j’avais fait de la compète en natation. Ma spécialité, c’était le 400 m, 400 nage libre, 4 fois 400 en équipe et 400 m 4 nages. J’étais bâtie pour ça, balaise, résistante à l’effort, pas hyper rapide mais endurante, capable de sprinter sur le dernier 50 m. J’ai fait sport-études, le bac avec mention à peine à 18 ans, puis fac et entraînement dans un centre avec un coach. Je peux te dire que le mot « entraîneur », c’est bien le masculin d’entraîneuse ! Un grand gaillard, la quarantaine, ancien champion, enfin un peu, demi-finaliste d’un relais aux championnats d’Europe, ...
... pas un crac. C’était un beau mec avec une sacrée musculature malgré un enrobage lié à son âge. Et nous, jeunes minettes, on en était toutes folles. Et il le savait, ce salaud. Un soir, il m’a gardée après l’entraînement « pour me faire travailler et corriger mes défauts ». Il me fait faire des longueurs dans les quatre nages et il me dit qu’il n’arrivait pas à bien voir ce qui clochait, à la brasse notamment. Il me demande de poser mon maillot, et il descend dans la piscine avec moi. Il était supposé « me faire sentir » ce qui n’allait pas, en me portant, c’est-à-dire en me tripotant. Moi, j’étais naïve et je marchais pleinement dans le truc. Et puis il m’a dit qu’il fallait me raser, que tous les nageurs étaient rasés, et il s’est proposé de le faire sur le champ et de comparer les chronos. Je l’ai laissé faire, couchée sur un banc, cuisses écartées. Tu parles ! Oh, il m’a rasé, mais ensuite il a voulu adoucir, pour supprimer le feu du rasoir, rien de tel que la salive. Il s’est donc mis à me bouffer la chatte et le clito, et comme ça ne m’était jamais arrivé, je suis partie en vrille aux premiers coups de langue. « Tu es ma petite sirène, disait-il, je vais faire de toi une grande championne ». Et pour ça il avait un dopage miracle, indétectable, des hormones masculines dont il avait tout une réserve, je n’avais qu’à sucer. Et comme une pauvre fille, je l’ai cru, je l’ai fait. On en était toutes raides-dingues, mais c’est moi qu’il câlinait, moi qui le suçais, puis ce fut ...